Était-elle l'Atlantide.
Étude de son emplacement et la raison de sa disparition.
English version.
Souvenirs de vies antérieures en Atlantide.
E
n
ce qui concerne la réincarnation et les vies antérieures :
à chacun sa croyance ! La réincarnation est la
base même des traditions hindoues et bouddhistes, car selon ces
religions, l'être humain ne fait pas un passage sur la Terre,
mais plusieurs. Puis à chaque passage l'âme doit, suite
à un nombre d'expériences, acquérir un niveau
spirituel supérieur, avant de passer à l'étape
suivante. Toutes les vies que nous menons, ressemblent donc un peu à
l'école, nous pouvons être promus à un niveau
supérieur, ou être contraints de redoubler la classe, ou
même être recalés dans une classe inférieure.
Puis nous ne serions même pas autorisés à
prendre quoi que se soit avec nous, même pas nos mémoires,
qu'elles soient bonnes ou mauvaises. Une certaine technique
d'hypnose, qu'on appelle aussi régression, permet apparemment
d'accéder à ces mémoires d'autres vies. Les
«
Éditions Du Rocher » ont
consacré un livre, sous le titre « Les Autres
Vies et la Réincarnation »
de Bernard &
Duboy, à ce sujet, où il y a une dizaine de pages
qui font référence à l'Atlantide. Ce livre
raconte dans les pages 198 à 209 les régressions vécues
par les auteurs de ce livre, Mr Jeanlouis Bernard et Mr Bernard
Duboy. Les textes complets n’ont cependant été
intégralement repris que dans la version papier de ce livre.
Cette version ne contient que quelques courtes extraits.
Extrait de l’expérience
de Jeanlouis, où il décrit un temple :
« ...Je
vis un dôme de verre à travers les branchages. Un
ruisseau courait sous les dalles transparentes du chemin. Une
musique mélodieuse s'échappait du temple. Nous
entrâmes. Comme elle, je me prosternai. Une lumière
céleste coulait des murs. Une cascade glissait sans bruit,
tel un rideau que nous écartâmes. Je fus saisi par la
beauté du cristal. La pierre parlait...." »
Dans
cette deuxième section du récit, Mr Jeanlouis Bernard,
un des deux auteurs du livre, décrit un temple avec en dôme
et avec un cristal dédié au Soleil, en tant que force
divine. C'était Cayce qui mentionnait également
l'existence de tels temples. Juste pour rappel ; Cayce avait
mentionné l'existence de différents temples, dont
certains servaient comme centrales énergétiques,
d'autres pour guérir les gens et les derniers, tels que Mr
Jeanlouis Bernard le décrivait, comme source spirituelle.
Extrait de l’expérience
de Bernard, qui aussi a vu les mêmes images :
« ...Nous
sommes revêtus de tenues blanches, très fluides, qui ne
gênent pas nos mouvements et tombent jusqu'à nos pieds.
Bien qu'elles soient identiques, aucune des toges ne se ressemble.
Chacune s'adapte à la personnalité de celui ou celle
qui la porte. Il fait une température idéale. Ici le
climat est toujours égal. Soudain , une grande cascade coupe
notre chemin, mais nous la traversons sans être mouillés.
Cette eau n'est faite que d'énergie : fluctuations et
vibrations. Lorsqu'on passe au travers, elle nous insuffle son
ardeur... »
« ...Nous
parvenons à l'entrée d'un temple semblable à
ceux de l'antiquité avec des colonnes blanches et une frise
tout autour... »
« ...Un
miroir à la surface en perpétuel mouvement, à la
couleur indécise à la fois transparente et bleutée.
De l'autre côté se trouvent les êtres que nous
avons aimés et qui sont morts. Ils nous attendent dans leur
univers de symboles, où ils ne sont qu'esprits, dépourvus
de corps... C'est ce que nous enseignent les livres sacrés... »
« ...Nous
savons tout cela depuis toujours et à jamais et nous en ferons
l'expérience en les rejoignant à notre tour, un jour.
Nous pourrons ainsi connaître le monde des triangles bleus ou
dorés, suspendus dans un espace infini, de toute éternité... »
Nous
pouvons constater que l'utilisation du miroir dans la magie du Moyen
Âge, n'est peut-être pas seulement un fantasme de leur
croyance en la magie noire, mais avait peut-être des racines
beaucoup plus anciennes, comme l'attestent les récits de Mr
Bernard Duboy. Ces descriptions correspondent d'ailleurs tout à
fait avec celles faites par Cayce, qui étaient cependant moins
précises. Le manque de détails dans les lectures de
Cayce est dû au fait qu'il ne donnait qu'un résumé
des vies des gens et cela pour connaître l'origine des maux
dont ils soufraient.
Au
fil des régressions, Mr Jeanlouis Bernard et Mr Bernard Duboy
avaient découvert plusieurs de leurs vies en Atlantide. Mr
Bernard Duboy avait rejoint l'Atlantide plusieurs siècles
après l'époque qu'il avait décrite précédemment.
Quelques extraits de
Bernard, qui nous relate un autre expérience :
« ...Une
porte immense, vert-de-gris, se dresse devant moi, haute d'au moins
quatre mètres, large de plus de deux mètres. Les
battants sont ouverts. Ils semblent très lourds, en métal
- de l'airain sans doute - dans lesquels sont enfoncés
d'énormes clous... Cela me fait penser à des temps
très anciens, à l'antiquité, Rome ou bien la
Grèce... »
« ...Mais
peut-on parler d'une ville, c'est plutôt un immense jardin... »
« ...Au-delà
des océans, d'autres races nous entourent. Pour nous, ce sont
des barbares. Nous communiquons peu avec eux, sauf avec certains qui
nous prennent pour des anges ou des dieux. Toujours ils s'exclament
et se prosternent lorsqu'ils nous voient nous envoler dans nos
véhicules aériens, dont les plus petits accueillent
trois personnes. Ils nous honorent, nous vouent des cultes... Nous
ne tirons pas parti du pouvoir que nous pourrions avoir sur eux :
nous tâcherons juste de les maîtriser. Nous intervenons
parfois pour interrompre les guerres incessantes qu'ils se
livrent... »
« ...Assis
en cercle, nous nous échappons de nos corps - ce qui nous est
parfaitement naturel - et nous lisons dans le grand livre de
l'univers. Les informations viennent à nous sous forme
d'images, de symboles que nous savons décrypter... »
Il
est intéressant d’observer qu’il parle de
véhicules aériens, un fait qui a également été
mentionné par Edgar Cayce, qui prétendait également
« lire »
dans un livre de l'univers. Selon Cayce, toutes nos vies seraient
consignées là dedans, les vies du passé, la vie
actuelle, puis celles à venir.
« ...Nous
calquons notre vie sur le Soleil qui, à l'image de Dieu, donne
avec une générosité totale. Nous avons
domestiqué ses rayons et nous bénéficions d'une
énergie infinie, qui nous permet de construire, de nous
déplacer sur nos véhicules volants... Nous nous
servons de cette énergie dans tous les domaines de la vie:
pour l'agriculture, pour alimenter nos machines, chauffer nos maisons
quand le temps devient frais... »
Ces
quelques lignes contiennent quelques informations très
intéressantes. D'abord la mention de chauffer des maisons
quand le temps devient frais. Ils disent frais et non pas froid,
cela voudrait dire que le climat de l'Atlantide aurait été
méditerranéen, avec une faible différence de
température entre l'hiver et l'été. Ceci
pourrait en effet nous indiquer que l'axe de la rotation de la Terre
et avec lui les pôles, n'était pas le même
qu'aujourd'hui. Ce simple fait pourrait justifier l'hypothèse
que l'angle de rotation n'aurait été que de six à
huit degrés au lieu des vingt-trois de maintenant. Ces lignes
parlent aussi de la domestication des rayons solaires, en tant que
forme d'énergie que nous ne connaissons pas actuellement.
Cela pour rappeler que Cayce avait lui aussi mentionné
l'utilisation de cette forme d'énergie. Ce récit parle
lui aussi de l'importance que le Soleil prenait dans la vie
quotidienne des atlantes et nous confirme que le Soleil représentait
pour eux Dieu. En plus ces récits font penser aux « Fils
de la Loi d'Un », que Cayce avait mentionné à
plusieurs reprises. Les deux auteurs continuent encore à
décrire en détail leur fonction et le contact qu’il
ont avec les Européens.
« ...Rares
sont ceux qui comme moi peuvent aller visiter les autres continents.
Pour cela, il faut avoir mes fonctions. Car instruire d'autres
peuples n'est pas sans danger.... »
Au
cours d'une autre régression, Mr Bernard Duboy nous amène
à nouveau en Atlantide. Les extraits suivants ont été
écrits de nombreuses années après les
précédents, mais toujours dans la même vie.
« ...Que
le paysage a changé ! Une grande partie de la végétation
a disparu. Je frémis en regardant les édifices de
verre qui se dressent autour du palais, à l'assaut du ciel.
Des nuages gris couvrent l'horizon. L' air n'est plus aussi pur.
Alentour, une fumée sombre s'élève. Je vois des
hommes dans les rues. Ce n'est plus un immense jardin, mais une
véritable métropole, encombrée, surpeuplée...
»
« ...Que
s'est-il passé ? Une immense tristesse étreint mon
coeur. Les Atlantes, mes frères, ont perdu la raison. Ils
se sont détournés du Soleil, ils ont trouvé et
exploité une autre énergie... »
« ...L'énergie
noire va bientôt se libérer, elle fera trembler la
Terre, qui anéantira notre continent. Y aura-t-il des
survivants ? Qui témoignera de notre grandeur passée ?
Qui pourra encore veiller, en sentinelle, sur les actes
d'hommes... »
« ...Je
prédis seulement qu'un nuage de poussière obscurcira la
Terre entière pendant trois jours et trois nuits et que sur
tous les continents, on entendra ce vacarme terrible, ces cris d'un
monde qui agonise... »
Ensuite
l'auteur de ces lignes ajoute la description de la destruction :
« ...Penché
au-dehors, je me souviens des temps anciens... Nous avons asservi la
nature, parqué les animaux, nos frères... Il me semble
que le sol tremble. Un nuage noir s'élève au loin.
Les pyramides, les tours de verre s'effondrent, la foule hurle.
Derrière moi, les colonnes de marbre se brisent, les bustes se
fracassent sur le sol. La fin est arrivée. Un soupir de
soulagement s'échappe de ma poitrine. L'attente a été
si longue. Une vague gigantesque se lève à l'horizon.
Des trombes d'eau s'abattent sur l'Atlantide. Ma femme, mon fils..
je ne les reverrai pas... »
Ces
récits, obtenus par des régressions de ces deux
personnes ayant jadis vécu en Atlantide, nous apprennent
beaucoup de choses. Déjà sur le climat, pour
mentionner un exemple. Mais il y a d'autres choses. Nous pouvons
constater, que certains avaient jugé utile de ne pas informer
la population, bien qu'ils savaient manifestement la vraie raison, le
vrai danger. Les personnes qui ont écrit ces récits
ci-dessus appartenaient manifestement au « Fils de la Loi
d'Un », la religion monothéiste de l'Atlantide. Il
est en effet un peu navrant de constater, en lisant entre les lignes,
que les « Fils de la Loi d'Un » avaient perdu
petit à petit leur foi et ont ainsi permis aux « Fils
de Belial » de prendre le dessus, avec leurs attitudes
matérialistes et leurs soifs de pouvoir. Mais il est moins
sûr que cela était la vraie raison de la disparition de
l'Atlantide. Cayce affirme à plusieurs reprises, que c'était
l'abus de cette forme d'énergie qu'ils puisaient des cristaux,
qui serait à l'origine de la disparition de l'Atlantide. Mais
il faut se rappeler, ou mieux s'imaginer ce qu'il pourrait se passer
aujourd'hui, aux conditions similaires. Il est fort certain que les
autorités ne communiqueraient pas ce qu'il se passerait et
contraindraient les initiés au silence. Si demain un
astronome découvrait une comète fonçant tout
droit sur la Terre, il serait condamné au silence. Imaginons
la panique générale qui s'installerait ! Scènes
de pillages ? Des gens qui vont se battre pour avoir un billet
d'avion vers le côté opposé de la Terre ?
C'est d'ailleurs l'écrivain Stephan King qui avait mis en
scène une telle situation.
Mais
d'après les histoires de l'Atlantide, il y avait ceux qui
savaient et avaient déjà pris leurs dispositions, comme
en témoignent les récits précédents.
Mais tout prête à croire que la vraie raison, celle de
ce corps céleste fonçant droit sur Terre avait été
cachée au grand public, puisqu'ils avaient fait croire au gens
que c'était de leur faute. Car la guerre du golf de 2003 nous
a malheureusement appris qu'on peut, quand il le faut, faire croire
n'importe quoi aux gens. Les autorités atlantes ont
certainement fait croire au peuple, que c'était l'abus
d'énergie qu'il avait fait, qui était à
l'origine de la perte de leur pays. C'est évident si les
gens avaient cru que c'était la fin inévitable du
monde, ils auraient moins eu la réaction de chercher à
fuir leur pays vers le côté opposé du globe et à
créer ainsi une vague de panique. C'est peut-être la
raison que Cayce voyait, puisqu'il remontait les vies successives des
gens, surtout l'abus de l'énergie comme cause de la
disparition de l'Atlantide. Car ceux qui savaient qu'un corps
céleste allait s'abattre sur la Terre, n'étaient
certainement pas très nombreux et avaient certainement été
contraints à garder le silence. La réalité se
tenait certainement au milieu entre un roman noir de Stephan King et
l'apocalypse de Saint Jean.
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