Était-elle l'Atlantide.
Étude de son emplacement et la raison de sa disparition.
English version.
Les évidences archéologiques.
D
epuis la sortie de « Atlantis - The Antediluvian World »
écrit par Monsier Ignatius Donnelly en 1882, un des principaux
arguments contre la théorie de l'existence physique de
l'Atlantide était qu'il n'y avait aucune preuve ni évidence,
qu'une civilisation très avancée aurait pu exister
aussi loin dans le temps. Pourtant, les chercheurs et scientifiques
doivent chaque fois, quand ils trouvent à nouveau des
évidences que l'être humain existait bien à une
date antérieure à celles qu'ils croyaient, revoir leurs
calendriers archéologiques et repousser le temps du début
des civilisations. Nos ancêtres étaient visiblement
plus avancés que nous croyions. Un bon exemple fut l'homme
qu'on avait trouvé dans les alpes entre l'Autriche et
l'Italie. Il avait des outils sur lui qu'il n'était pas censé
posséder. Une autre découverte avait été
faite en 1940 en Amérique du Nord, là on avait trouvé
une momie, dont l'âge avait initialement été
estimé à 2000 ans, mais dont un récent datage la
situait à 7400 ans avant Jésus Christ. Le plus
étonnant de cette trouvaille était que cette momie
portait des mocassins et des vêtements tissés
mécaniquement avec des plants poussant en lieu marécageux.
Cette trouvaille montre qu'il y avait des gens en Amérique
du Nord qui savaient fabriquer des vêtements machinalement.
Cela montre également, qu'il faudrait arrêter de
supposer que nous serions la seule civilisation ayant existé,
et, arrêter de supposer que toute civilisation antérieure
était forcément moins évoluée que la
nôtre. Il faut, en plus, bien se mettre dans la tête
que chaque civilisation va connaître son déclin après
avoir connu son apogée. En plus ce n'est pas impossible, que
les événements, tels que ceux qui avaient causé
la disparition de l'Atlantide, soient beaucoup plus fréquents
qu'on veut nous le faire croire.
Il y avait un groupe de 70 chercheurs, scientifiques et aventuriers de
l'université « Pepperdine » de Los
Angeles, qui aurait publié, il y a quelques années, un
document sous le nom de « History of the Golden Ages ».
Dans ce document, dont suivent ci-dessous quelques courts extraits,
ils révélaient l'existence de plus d'une trentaine de
ruines, des pyramides, des dômes, des routes pavées, des
bâtiments rectangulaires, des colonnes, des canaux et d'autres
constructions, au fond de l'océan Atlantique, allant de la
côte Marocaine jusqu'aux Bahamas.
Ruines
et traces trouvées :
Une pyramide, explorée par Dr Ray Brown, sur le fond de l'océan
dans la région des Bahamas en 1970. Mr Brown était
accompagné par quatre autres plongeurs, qui n'avaient pas
seulement trouvé des routes, des dômes, des bâtiments
rectangulaires, mais également des instruments faits de
matériaux inconnus. La pyramide contenait un cristal, ayant
des propriétés pour le moins étranges, avec des
pyramides miniatures à l'intérieur.
Une ville a été trouvée au fond de l'océan
Atlantique au large de l'Espagne par l'expédition de Dr
Maxine Asher en 1973.
Des ruines de routes et de bâtiments ont été
photographiées au large des îles Bimini, en 1960 par
une expédition du Dr Manson Valentine. Des ruines
similaires l'ont été au large de Cay Sal des Bahamas.
Des ruines similaires ont été trouvées à une
profondeur d'une vingtaine de mètres au large du Maroc.
En Tiajuanaco, Bolivie, un calendrier avait été trouvé
qui montrait la position exacte des planètes il y a 27 000
ans, ce qui représente 20 000 ans avant l'écriture
des actuels livres d'histoire.
Dr David Zink avait trouvé en 1957, au large des Bahamas, un
bloc de marbre stylé, encastré dans une construction
et percé par une mèche, ainsi qu'une colonne de pierre
qui avait l'air d'émettre de l'énergie.
Capitaine John Alexander avait trouvé un complexe portuaire au large
des îles Bimini.
Le sous marin de grande profondeur, le « Aluminaut »,
avait découvert au fond de l'océan Atlantique, une
route bien préservée dont la surface était
faite d'oxide de magnésium et qui allait de la Floride
jusqu'en Caroline du Sud.
Le capitaine Reyes Miranga avait pris en vidéo des bâtiments
en forme de temple, des statuettes, de larges boulevards courbés,
avec des boulevards plus petits partant perpendiculairement comme
les rayons d'une roue.
Une pyramide, haute comme un immeuble d'onze étages, avait été
trouvée au beau milieu de l'océan Atlantique, à
une profondeur de plus de trois mille mètres. De plus cette
pyramide aurait une pointe de cristal.
Plusieurs milliers de mètres carrés de ruines en marbre blanc,
ou de matériaux y ressemblant, ont été trouvés
par Liecesaer Hemingway sur le fond en pente de l'océan au
large de Cuba.
Plusieurs pilotes auraient vu un mystérieux dôme dans les eaux
claires du Détroit de Floride.
Des expéditions russes auraient photographié des ruines
sur le Banc Ampère, qui étaient détruites par
la lave.
L'expédition de P. Cappellano avait découvert en 1981 des ruines
mystérieuses, avec d'étranges symboles, sur le fond de
l'Atlantique au large des Îles Canaries.
Une énorme pyramide avait été trouvée par
l'expédition Marshall à une profondeur de 45 mètres
au large de Cay Sal, Bahamas. Les eaux d'alentour étaient
mystérieusement éclairées par une eau blanche
et transparente sortant des ouvertures de la pyramide, entourée
d'eau verdâtre, au lieu d'eau sombre comme ailleurs dans la
région.
Une fondation de trente sur vingt-deux mètres avait été
photographiée au large des îles Andros.
Des expéditions russes de Boris Asturna avaient trouvé, au
fond de l'océan Atlantique, à 650 kilomètres du
Portugal, une ville immergée. Cette ville avait des
constructions faites de béton extrêmement solide et
d'une sorte de plastique. Puis il y avait des restes de routes,
qu'on dirait avoir été conçues pour le
transport par monorail.
Une colonne de deux mètres en forme d'une spire partant d'une
double base, qui avait la forme d'un engrenage, avait été
trouvée au fond de l'océan par Dr William Bell en
1958. Des photos de cette colonne montraient une lumière
partant perpendiculairement depuis la base de cette colonne.
Des piliers ont été trouvés au fond de l'océan
par Robert Fero et Michael Grumley en 1969. Une partie avait été
taillée à partir d'un type de rocher non identifié
et qui n'existerait nulle part sur la Terre.
C'est Dr Manson Valentine qui aurait exploré une route au large des
Bahamas.
Dimitri Rebikoff avait pu observer, en utilisant une plate-forme sous-marine
équipée d'une lentille spéciale, des ruines
entourant une source d'eau fraîche.
Des ruines d'une ancienne ville ont été trouvées au
large de l'île Ponape.
D'autres ruines similaires ont été trouvées à 45
kilomètres au large de l'île de Paques.
Une route en ruine sur l'île de Karotonga se perd en plusieurs
kilomètres dans l'océan Pacifique, puis semble
ressortir en ligne droite sur une autre île !
Professeur Menzies, de l'université de Duke, avait photographié
des ruines d'une ancienne civilisation au fond de l'océan
Pacifique, entre le Pérou et Tahiti. Parmi ces ruines il y
avait une colonne munie de hiéroglyphes inconnus.
Professeur Menzies avait également trouvé en 1966 des ruines à
une profondeur de 2 000 mètres, sur la dorsale de Nazca,
au large du Pérou, dans l'océan Pacifique.
Des carottages faits en 1957 au sud des îles d'Açores, là
où l'océan Atlantique a une profondeur de plus de
trois mille mètres, ont relevé l'existence des plantes
d'eau douce à cet endroit, qui poussaient normalement dans
les marécages.
Parmi ces trouvailles faites par des gens sérieux, il y a
malheureusement aussi une brebis galeuse, qui porte le nom de Paul
Schliemann, petit fils de Heinrich Schliemann, discréditant
tous les autres et l'archéologie en particulier. Ce
monsieur, en profitant du renom de son grand père, avait
déclaré dans un article paru en 1912 dans les journaux
Hearst, que son grand père, qui était intéressé
par l'Atlantide depuis longtemps, aurait un peu avant sa mort en
1890, laissé une enveloppe scellée destinée à
ce membre de sa famille qui s'intéressait à la cause de
l'Atlantide. Paul Schliemann avait déclaré, que son
grand père aurait une heure avant sa mort rajouté à
cette enveloppe une annexe non-scellée avec la mention :
“ Cassez le vase à tête de hibou !
Étudiez le contenu ! Cela concerne l'Atlantide ! ”.
Paul avait déclaré, qu'il n'avait ouvert la lettre,
qui avait été déposée auprès d'une
banque Française, qu'en 1906. Selon lui, il n'aurait appris
qu'à ce moment là que le vase aurait porté une
inscription : “ Appartient au roi Chronos de
l'Atlantide ”. Ce
vase aurait contenu des os, des tablettes d'argile et certains objets
faits d'un métal inconnu. D'après Paul Schliemann,
son grand père aurait également examiné un vase
en provenance de l'Amérique du Sud, qui aurait contenu des
objets d'un alliage métallique peu habituel. Tous ces
objets, par contre, avaient été identifiés comme
faux, une fois que l'article de Paul Schliemann avait été
publié.
Une autre trouvaille assez curieuse était un crâne de
cristal. Même si nous ne pouvons pas lui donner d'âge,
ni lui attribuer un quelconque lien avec l'Atlantide, la manie des
atlantes d'utiliser des cristaux pour un peu de tout, laisse quand
même la question ouverte si ce crâne ne date pas de leur
époque.
Aux temps des anciens, notre corps et esprit avaient, selon eux, une
structure cristalline et c'est pour cette raison qu'ils imitaient des
parties du corps et spécialement le crâne en cristal.
La meilleure pièce intrigante qui n'avait jamais été
trouvée à ce jour, est le crâne trouvé par
Anna, fille de l'explorateur britannique Mitchell-Hedges. C'était
elle qui avait trouvé ce crâne le jour de ses 17 ans,
quand elle avait eu droit de participer aux fouilles dans la cité
Maya de Lubaantun au Belize. À ce crâne manquait
cependant la mâchoire inférieure, qui avait été
trouvée trois mois plus tard à 8 mètres de là.
Il y a par contre certaines mauvaises langues qui prétendent
que ce crâne avait été acheté chez
Sotheby's en 1943 pour la somme de 400 livres.
Le crâne, lui, est fait d'un seul bloc de cristal de roche pur
inhabituellement grand et mesure 17 centimètres de long, 12
centimètres de large et 12 centimètres de hauteur, et
il pèse à peu près 5 kilos. Ses dimensions
sont à peu près les mêmes que celui d'un humain,
avec des détails étonnement parfaits. Puis d'après
les caractéristiques des orbites oculaires, ce serait un crâne
féminin. C'était en 1970 que le conservateur du musée
Frank Dorland avait obtenu l'autorisation de Mitchell-Hedges de faire
analyser ce crâne. Il avait ensuite été analysé
par une équipe de scientifiques, spécialisés en
cristallographie, aux laboratoires de Hewlett Packard en Californie.
Ces analyses, qui avaient quand même duré six mois, ont
montré que le crâne et la mâchoire inférieure
n'étaient pas seulement taillés à partir du même
bloc de cristal, mais avaient été taillés sans
avoir tenu compte des axes naturels du cristal. Même à
ce jour en cristallographie, il est indispensable de déterminer
d'abord les axes cristallins, car tailler un cristal sans tenir
compte des axes, comme les anciens l'avaient fait, se soldera, avec
nos moyens d'aujourd'hui, en une destruction du cristal. Les
anciens, qui avaient fait ce crâne en cristal, maîtrisaient
visiblement une technique telle qu'ils n'avaient apparemment pas
besoin de tenir compte de ce genre de critères. L'artiste,
inconnu, n'avait pas non plus utilisé des outils métalliques,
il n'y avait aucune trace d'outil métallique, ni traces de
métal, même pas après une analyse microscopique.
Le cristal utilisé était d'ailleurs trop dur pour
avoir été taillé avec des outils métalliques.
Les traces très très fines laissaient penser à
Dorland que le crâne était d'abord taillé d'une
façon globale à partir d'un bloc de cristal au moyen de
diamants, puis qu'il était ensuite travaillé avec du
sable. Cette théorie pose cependant un problème, le
travail aurait dû durer au moins 300 Homme-années !
C'est précisément la raison pour laquelle une autre
analyse avait été faite en 2004 à l'aide d'un
microscope électronique. Cette dernière démontre
que ce crâne avait été usiné mécaniquement
et reste pour l'instant classé comme un faux. Les marques
microscopiques seraient droites et parfaitement espacées et
non pas aléatoires comme le résultat d'un travail
manuel aurait dû donner. Exécuté ainsi, même
à ce jour, un travail à la meule au diamant ne sera pas
aussi parfait, sans même parler de la précision. Car
la possibilité de reproduire un tel crâne, à
l'identique, avec les mêmes caractéristiques optiques,
reste à ce jour dans le domaine du peu probable et même
dans le domaine de l'impossible.
Ce crâne ne focalise pas seulement la lumière qui entre,
par les yeux, mais il contient de petits trous, par lesquels on peut
le suspendre en parfait équilibre, tel qu'une moindre brise le
fait basculer. En plus, de temps à autre, soit le crâne
devient pour une raison inconnue, nuageux, soit un point noir
apparaît dedans pendant quelques minutes.
À ce jour il existe au total 13 types de ces crânes, qui
auraient, selon une légende d'indiens d'Amérique, des
pouvoirs mystiques et renfermeraient des informations concernant
l'avenir.
En regardant la liste des trouvailles d'un peu plus près, nous
pouvons constater qu'il y en a beaucoup dans les régions où
la mer a une profondeur inférieure à cent mètres.
Une région, où le nombre des trouvailles est
particulièrement élevé, est le Grand Banc des
Bahamas. Cette région se trouve a cause de ce fait
classifiée pour avoir été le lieu où se
trouvait jadis l'Atlantide. Mais il faut bien se rappeler que les
eaux de cette région ne sont pas très profondes ; elle
est aussi très prisée pour des vacances et surtout la
plongée sous-marine. Le grand nombre d'amateurs chevronnés
et professionnels qui oeuvrent dans cette région, est une des
raisons de ces trouvailles. C'est bien connu, pour trouver, il faut
d'abord chercher
Remarques :
Une raison parmi d'autres pour laquelle on trouve un si grand nombre de
ruines dans les eaux jusqu'à une centaine de mètres,
c'est que le niveau de la mer était jadis une centaine de
mètres plus bas. Ce devrait être clair, dans
l'hypothèse d'une montée des eaux sur une centaine
d'années, que la population vivant dans ces régions
avait été contrainte à déménager
ailleurs et a abandonner leurs cités.
Nous pouvons ainsi aisément identifier ces régions où
il aurait dû y avoir des villes, des cités, des
villages, des ports et d'autres traces de civilisation. Nous
pouvons ainsi citer le delta du Danube, qui se trouve en grande
partie immergé sur des milliers de kilomètres carrés.
Puis les autres parties de la Mer Noire ne sont pas en reste, des
dizaines d'anciennes cités ont été trouvées
à peu près partout sur ses côtes. C'est
d'ailleurs pour cette raison que certains voulaient avoir trouvé
l'Atlantide dans la région de la Mer Noire. C'est clair
qu'avec un niveau de la mer d'une centaine de mètres plus bas,
celui de la Mer Noire le serait aussi et laisserait émerger
une grande quantité de terrains. Dans le delta du Danube, il
faudrait même s'attendre à plusieurs milliers de
kilomètres carrés. Cette région n'avait
cependant pas été immergée en vingt-quatre
heures comme c'était le cas avec l'Atlantide, mais aurait
quand même dû durer une centaine d'années. Il
devrait être clair que les gens, ainsi contraints à
déménager, n'auraient pas pu emmener avec eux les
constructions les plus lourdes et auraient dû les laisser sur
place. Ce sont justement ces constructions abandonnées qu'on
trouve actuellement Il reste aujourd'hui, par contre, un très
grand nombre de régions côtières qui demeurent
dans le même cas que la Mer Noire et la région des
Bahamas, mais qui n'ont pas été explorées. Un
exemple d'une région mal explorée est la région
des îles Indonésiennes. Là aussi nous risquons
de trouver des traces d'anciennes civilisations englouties par la
montée des eaux.
Il y a cependant parmi les indices mentionnés précédemment,
trois qui pourraient attester que la zone des Açores avait
émergé et qu'elle était au moins trois mille
mètres plus haute dans le passé. Il y a une pyramide,
de la lave solidifiée à l'air libre, puis des
carottages montrant des plantes d'eau douce. Par contre, cette zone
est aujourd'hui à cause de sa grande profondeur et de sa
grande surface à explorer quasiment inaccessible aux
recherches méticuleuses.
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