Était-elle l'Atlantide.
Étude de son emplacement et la raison de sa disparition.
English version.
Nos religions, seraient-elles d'origine Atlante ?
D
es
mythes ne sont, aussi bien dans la Bible, que dans les autres
religions, jamais racontés dans les détails, mais juste
par petits bouts çà et là, comme des flashes, ou
comme des étoiles filantes. Mais même si les mythes
contiennent parfois des détails, ils restent cependant
hautement allégoriques, voire incompressibles. Les détails
ne sont en général inclus que pour illustrer l'histoire
actuelle vécue par des personnages, tels que Jésus,
Zoroastre, Moïse, Abraham, Krishna, Bouddha et cetera. Puis en
mettant tous ces petits bouts et flashes les uns après les
autres, comme un puzzle, ils semblent parfois former un ensemble, une
fois démythifiés et intégrés dans
l'ensemble.
Toutes les religions, y compris la religion chrétienne, semblent se
centrer sur l'histoire de l'Atlantide, perçue en tant que
Éden, sur sa chute, sa destruction par les flots, puis sur
l'espoir de sa renaissance. Nos rituels et croyances, ceux dont
nous avons, objectivement parlant, oublié le véritable
sens, dériveraient-ils d'une façon indirecte des Indes
et, pour ne surtout pas les oublier, du peuple Juif ? Les Indes et
le peuple Juif auraient de leur côté hérité
leurs cultures et leurs religions de l'Atlantide et de Lemuria,
sources de tous nos mythes et croyances ésotériques.
Considérons les sacrements, en se rappelant que les sauveurs
des différentes religions, tels que Adam, Jésus Christ,
Krishna, Moïse, Noah, Atlas, Shiva et d'autres seraient, selon
certains anthropologues,
juste une et même divinité. De même, nous
pouvons considérer que toutes ces religions seraient issues
d'une seule Ur-religion, comme certains anthropologues géniaux
veulent avoir considéré comme source de toutes ces
religions. Avant de continuer, nous constatons que les sacrements
sont au nombre de sept. Le nombre sept est un nombre sacré,
aussi bien chez les Chrétiens, en Inde, mais aussi chez les
anciens Égyptiens, où le nombre sept était
l'addition du nombre quatre, symbolisant la matière et le
nombre trois, symbolisant le spirituel. Les
mieux connus de tous les sacrements sont le baptême et le
mariage. Selon certains, le baptême ne serait pas seulement
un rite d'initiation, mais il symboliserait en quelque sorte la
renaissance après le déluge et en ce qui concerne le
mariage, il n'a pas besoin d'explications détaillées.
Des explications ont été avancées par plusieurs
anthropologues pour chacun des sept sacrements, mais de les détailler
va en dehors de l'intérêt de ce livre.
D'autres points communs :
Malgré la presque absence totale de ressemblance entre les différentes
religions, il existe néanmoins d'intéressants points
communs. Car il ne faut surtout pas oublier que les différentes
régions sous influence Atlante, avaient évolué
indépendamment les unes des autres pendant les dernièrs
12 000 ans. Mais il nous reste quand même quelques
points de ressemblance entre ces religions d'antan et les religions
contemporaines.
Adoration du Soleil :
Même, si à ce jour, nous adorons plus le Soleil en tant que
divinité, nous l'adorons bien autrement, car pour s'en
convaincre, il suffit d'aller voir les plages d'été.
En plus, nous avons conservé le jour dédié au
Soleil, le Dimanche, comme jour du seigneur et jour chômé.
Les récits de Mr Bernard, ainsi que les lectures de Cayce,
témoignent que les Atlantes, eux aussi, adoraient le Soleil,
même si une partie d'entre eux, « Les enfants de la
loi d'Un », ne le voyaient pas en tant que divinité,
mais comme source spirituelle, source d'énergie. Nous
retrouvons l'adoration du Soleil chez les Aztèques, leur
ancêtres les Mayas, les Incas et chez les Égyptiens.
Les Grecs avaient bien de leur côté un dieu représentant
le Soleil, Hélios, mais celui-ci n'était pas vénéré
comme dieu suprême et même pas parmi les douze dieux
principaux.
Un dieu créateur non représentable :
Un dieu de pur esprit et non représentable, ne semble pas être
une exclusivité de nos religions d'aujourd'hui. Les
Aztèques, ayant hérité leur culture de leurs
ancêtres, les Mayas, connaissaient également le concept
de dieu, “Ometeotl”, créateur non représentable,
qui était chez eux, comme chez nous, la divinité
suprême. Les Hébreux, le peuple Juif donc, qui
semblent être les descendants directs des Atlantes
monothéistes, « Les fils de la loi d'Un »,
avait apparemment abandonné l'adoration du Soleil, pour ne
retenir qu'une divinité non représentable.
Sacrifices humains :
Le sacrifice et le sacrifice humain en particulier, apparaît aux
yeux de beaucoup de peuples un moyen efficace de supprimer un
problème potentiellement source de conflit, qu'on ne sait pas
résoudre. Les Aztèques, leurs ancêtres les
Mayas, les Incas, les Égyptiens et même les Hébreux
pratiquaient le sacrifice humain, puis chez certains surtout ceux des
enfants. Les Hébreux anciens faisaient perdurer le sacrifice
des enfants, malgré les interdictions et les imprécation
répétées de leurs prophètes, jusqu'à
au premier millénaire avant Jésus Christ. C'est la
ligature d'Isaac dans le judaïsme et l'Aïd al-Kebir dans
l'Islam qui commémorent l'abandon du sacrifice des enfants, en
substituant un bélier, animal de grande valeur, car
reproducteur. On avait donc substitué un être cher
avec le sacrifice d'une source de revenus monétaires dans une
civilisation où le numéraire est rare. Les anciens
Égyptiens sacrifient chaque jour, d'après
l'historien Manéthon, trois hommes, jusqu'à ce que le
Pharaon Amasis
les ait fait remplacer par trois statues de cire. Mais les
champions incontestables des sacrifices humains ont sans doute été
les Aztèques et leurs ancêtres les Mayas. Avant que
les Espagnols aient conquis le pays, les estimations du nombre de
sacrifiés tournaient autour de cinquante mille par an. Il
paraît que, lors de certains jours de fête, ils tuaient
jusqu'à vingt mille personnes. Nous savons aujourd'hui que
la plupart des victimes auraient été les prisonniers
capturés pendant les guerres et des enfants. Un examen des
lectures de Cayce nous permet de savoir que les Atlantes
connaissaient vers la fin, même si les dialogues de Platon n'en
parlent pas, des sacrifices humains. Nous pouvons constater, en
regardant les zones qui étaient jadis sous contrôle des
Atlantes, que toutes ces zones connaissaient plus au moins les mêmes
rituels de sacrifices humains.
Le sauveur, le retour d'un prophète ou d'une divinité
:
Une autre curiosité c'est que des deux côtés de
l'Atlantique, différentes religions attendent et attendaient
le retour d'un sauveur, ou d'une divinité. Les Aztèques
attendaient le retour de « Quetzalcòatl »,
puis les Hébreux, voire le peuple Juif, attendent leur sauveur
à leur tour. Les Chrétiens ont leur Jésus
Christ, mais attendent maintenant sa deuxième venue. L'Islam
a Mahomet, mais eux aussi attendent à leur tour également
que vienne un autre sauveur. Même si les lectures de Cayce ne
mentionnent pas l'attente d'un sauveur chez les « Fils
de la loi d'Un », le fait d'attendre un sauveur des
deux côtés de l'Atlantique, jadis sous contrôle
des Atlantes, pourrait bien nous indiquer que ce mythe ait trouvé
naissance dans les religions de l'Atlantide.
La
destruction du monde suivie d'une nouvelle ère :
Les Aztèques et leurs ancêtres les Mayas ont un concept
d'une fin du monde, suivie d'une nouvelle ère. Nous trouvons
ce même mythe, en Inde, puis, un peu tardivement, dans nos
religions actuelles. Ces mythes pourraient, eux aussi, venir des
religions Atlantes, qui, à croire les lectures de Cayce,
auraient vu leur pays détruit par des éléments
déchaînés, à trois reprises. Ces
destructions seraient peut-être à l'origine des mythes
des ères, là où une ère se termine avec
une destruction de l'anciene, pour commencer une autre ère
meilleure. Tous les mythes nous promettent un monde meilleur plus
tard.
Nous devrions dans l'ensemble, nous rendre compte, que nous avons en nous
et profondément enracinée dans notre société
et dans nos religions, toujours notre origine Atlante, qui nous a été
transmise par les Égyptiens et le peuple Juif, puis aux Grecs
et aux Romains, qui nous l'ont transmise à leur tour.
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