Était-elle l'Atlantide.
Étude de son emplacement et la raison de sa disparition.
English version.
L'astrologie, serait-elle un héritage de l'Atlantide ?
L
'astrologie, serait-elle également un héritage atlante ? Chacun
d'entre nous a certainement déjà consulté son
horoscope dans son quotidien, ou dans son journal de programme de
télévision. Mais qui d'entre nous, en lisant son
horoscope, osera s'imaginer que l'astrologie, connue depuis l'âge
des temps, serait un héritage ou une coutume résiduelle
d'une religion ancestrale. Nous trouvons en effet que son utilisation
remonte à la Mésopotamie et à l'Égypte
ancienne. De même, quand nous parlons aujourd'hui des trois
mages, ces trois mages étaient en réalité des
astrologues, qui avaient “lu” dans les étoiles
l'arrivée prochaine d'un nouveau roi juif. Mais si nous
regardons d'un peu plus près, l'astrologie montre en effet une
corrélation entre les étoiles, pour la plupart des
planètes, le Soleil et des divinités anciennes. Il se
trouve par exemple que le Soleil n'était pas seulement un
astre qui donne de la lumière et de la chaleur, mais également
le dieu suprême. C'était le cas chez les égyptiens,
c'était également le cas chez les Mayas et les Incas,
puis les Atlantes, eux aussi, avaient le Soleil comme dieu suprême.
Le Soleil occupe même dans l'astrologie la place la plus
importante. Pour déterminer son signe astrologique, nous
utilisons bien la position que le Soleil occupait pendant sa
naissance. Il y a ensuite les fonctions, qu'on avait attribuées
aux planètes, qui incluent les différentes divinités
de l'époque. La planète Mars, par exemple, avait reçu
la fonction de représenter le dieu de la guerre, d'où
son nom, le dieu de la guerre des romains, Mars. Ainsi on avait
également attribué des caractéristiques
spécifiques aux constellations d'étoiles, dans
lesquelles le Soleil se trouvait à un moment donné.
Les égyptiens, eux, avaient aussi leur astrologie, la preuve se
trouve au musée du Louvre. Le plus connu est le Zodiaque du
temple de Dendérah, même si l'exemplaire d'aujourd'hui
semble n'être que la sixième copie, daterait d'environ
150 ans avant Jésus Christ. La particularité de ce
zodiaque est le fait qu'il ne tient pas seulement compte des cycles
annuels, mais également du fait que l'équinoxe du
printemps se déplace à raison d'un degré tous
les soixante-douze ans. Une petite multiplication nous apprend que le
total 72 X 360 = 25 920 ans. Puisqu'un signe du
zodiaque occupe un douzième du ciel et de ce fait une douzième
du total, ce qui nous fait une période de 2160 ans par signe
de zodiaque.
Un certain monsieur Slosman avait donc remonté en arrière ce
calendrier, en partant du signe du Bélier, dans lequel devait
se trouver le point vernal
de zéro degré de l'équinoxe du printemps. Il
remontait donc les signes « Bélier »,
« Taureau », « Gémeaux »,
« Cancer », pour trouver ce fameux icône
représentant un lion dans une barque au milieu du signe
« Lion ». Le milieu de ce signe serait, selon
ce monsieur Slosman, l'année du déluge, qui aurait lieu
d'après lui en 9792 ans avant Jésus Christ.
Il est vrai que les égyptiens avaient de nombreux symboles, dont l'un
est la barque sacrée. La barque sacrée était le
symbole du temps qui s'écoule, mais elle était aussi
celui de la navigation des vivants et des morts. Pourquoi ont-ils
représenté le signe du Lion dans une barque, avec un
jeune homme à l'arrière de celle-ci, si ce n'était
pas pour signaler la date d'un déluge.
Il est fort probable que les grands prêtres de l'Atlantide, qui se
sont perpétués dans les grands prêtres égyptiens,
auraient, en connaissance de cause, vu venir la catastrophe. En
craignant la disparition totale de leur Terre d'origine, l'Atlantide,
ils auraient imaginé de construire de grandes barques pour se
sauver d'abord, la population et les trésors de leur immense
savoir ensuite. C'est bien ce qui a permis à la population
égyptienne d'apparaître un jour dans l'histoire de
l'humanité, en tant que population structurée,
organisée, conservant puis perdant peu à peu le savoir
des atlantes. C'est ainsi que l'astrologie aurait pu apparaître
dans cette région, en tant que partie intégrale de la
religion.
Il y a une légende qui prétend que de nombreuses barques auraient
accosté sur les côtes du Maroc actuel. Mais malgré
un grand nombre de disparitions de barques lors de la traversée,
ceux qui avaient échappé au Grand Cataclysme, avaient
mis longtemps à trouver une nouvelle Terre. Ce nouveau coeur
de dieu, ils l'avaient trouvé en traversant l'Afrique,
jusqu'en Égypte où Dieu leur aurait fait signe en
projetant sur la Terre, dans le delta du Nil, une énorme tache
lumineuse en forme de triangle. Cette tache lumineuse était en
réalité Cirrus, qui fait son apparition annuelle un peu
au même moment que les crues du Nil, qu'ils ont vu apparaître
lors de leur arrivée sur place. Les égyptiens
accordaient à Cirrus, l'étoile principale de la
constellation du Chien, une place considérable. Ce n'est pas
seulement l'étoile Cirrus que les égyptiens vénèrent
en tant que divinité, mais le triangle formé par cette
tache lumineuse. Les pyramides ne sont autres que quatre triangles
accolés les uns aux autres, qui se joignent au sommet en tant
que point de centre.
Le 4 : la base carrée de la pyramide symbolisait la
matière.
Le 3 : les trois côtés de chaque triangle évoquent
le grand ternaire de chaque grande tradition ; Isis, Osiris et
Horus, soit pour nous, le Père, Le Fils et Le Saint Esprit.
Le triangle symbolise donc le spirituel.
Le 1 : le 4 et le 3 se réduisent en l'unité de
l'esprit.
Le 7 : l'addition du 3 et du 4 nous donne un chiffre sacré,
que nous trouvons dans tous les textes religieux.
Le 12 : multiplication de 4 et 3, nous donne un chiffre magique
que nous trouvons un peu partout.
De plus le triangle symbolise souvent la montagne, pour ne pas oublier des
montagnes sacrées, telles que l'Atlantide les avait connues et
que le Japon connaît toujours
Nous trouvons chez des indiens de l'Amérique latine également
ce lien d'une forme d'astrologie d'une part et la religion d'autre
part. Chez eux le Soleil symbolisait également un dieu
suprême, puis leurs temples avaient également une forme
pyramidale. De plus, nous devons aux Mayas le calendrier le plus
précis jamais confectionné. Ce calendrier semble se
baser sur les positions occupées dans le ciel par les planètes
visibles à l'oeil nu.
L'astrologie nous confirme d'ailleurs le fait des deux religions. Le peuple juif
de l'Égypte ancienne ne pratiquait pas l'astrologie, tandis
que l'astrologie faisait partie intégrale de la religion de la
classe dirigeante égyptienne. Les lectures de Cayce nous
montrent un même genre d'image de la société
atlante, là aussi il y avait plusieurs classes, dont la plus
basse classe, qui était traitée en tant que choses,
formait la base de la religion monothéiste et ne respectait
qu'une seule divinité.
Nous pouvons donc conclure que l'astrologie trouve certainement ses
racines dans l'Atlantide, mais pas chez les ancêtres des juifs,
les « Fils de la loi d'Un». Même si les
dialogues mentionnent les mêmes dieux que les Grecs possédaient
à l'époque de Platon, cela ne signifie pas pour autant
que les atlantes leur avaient attribué les mêmes noms.
Nous avons d'ailleurs bien vu que ces noms changent d'une culture à
l'autre sans changer la fonction de ce dieu. Les Grecs et les Romains
avaient à peu près les même divinités,
sauf que les noms changeaient. Nous trouvons ces mêmes
fonctions chez les égyptiens, puis ce serait probablement la
même chose chez les atlantes, en tout cas chez les « Fils
de Belial ».
Nous trouvons d'ailleurs encore des traces dans la vie quotidienne et même
sans regarder notre horoscope dans notre journal favori. Non il ne
s'agit pas de quelque chose de mystique, mais tout simplement des
jours de la semaine.
Relation entre le jour de la
semaine et les planètes :
Dimanche Le
Soleil
Lundi La
Lune
Mardi Mars
Mercredi Mercure
Jeudi Jupiter
Vendredi Vénus
Samedi Saturne
Nous pouvons donc constater que nous respectons toujours le jour, qui
était jadis consacré au dieu suprême, le Soleil,
en tant que jour chômé. Ces dénominations
remontent, en passant par les romains, à la nuit des temps ;
il ne serait pas étonnant de les retrouver dans la société
atlante.
Les planètes et les constellations d'étoiles sont à
leur tour associées à des divinités. Les plus
connues sont les divinités Grecs et Romaines. Les Égyptiens,
eux, s'orientaient plutôt vers les constellations d'étoiles.
Ils vénéraient entre autres Cirrus et L'Orion.
Le Soleil : Le dieu Hélios, qui conduisait le char
solaire à travers le ciel.
La Lune : Déesse Diane en Romain, ou Artémis pour
les Grecs anciens. Fille de Zeus, elle est la déesse de la
nature, des animaux et de la chasse.
Mars : Le dieu Arès des Grecs, dieu de la Guerre.
Mercure : Le dieu Hermès des Grecs, dieu des voleurs, des
commerçants et des voyageurs. Il est aussi le messager des
dieux.
Jupiter : Le dieu Zeus des Grecs, roi des dieux et père des
hommes.
Vénus : La déesse Aphrodite des Grecs, déesse de la
beauté et de l'amour.
Saturne : Le dieu Chronos des Grecs, dieu du temps et de
l'agriculture.
Mise à part l'association planètes - divinités, nous trouvons
également une décomposition du monde en quatre
éléments, dont chacun a ses caractéristiques.
Ensuite l'interprétation symbolique des quatre éléments
repose sur la décomposition de ces quatre éléments
en quatre qualités, c'est à dire le chaud, le froid, le
sec et l'humide.
Le Feu : Le feu correspond à un tempérament bileux, à
l'appareil musculaire, à toute l'activité volontaire.
C'est un tempérament sec et actif.
L'Air : L'air correspond à un tempérament sanguin, à
l'appareil respiratoire et circulatoire, aux fonctions sexuelles.
C'est un tempérament dilaté et tonique.
L'Eau : L'eau correspond à un tempérament
lymphatique, à l'appareil digestif, à l'état
végétatif et au sommeil. C'est un tempérament
dilaté mais passif.
La Terre : La Terre correspond à un tempérament
nerveux, au système nerveux et aux fonctions cérébrales,
à toutes les fonctions de contrôle. C'est un
tempérament sec et statique.
Les quatre éléments sont liés aux quatre qualités :
Le
Chaud : Le chaud est d'une manière générale
un principe d'énergie, d'activité et d'impulsion.
Le
Froid : Le froid est par l'opposition au chaud, de
passivité et de résistance.
Le
Sec : Le sec est un processus d'analyse, de séparation,
d'individualisation, de contraction et de repli sur le détail
ou sur soi. Il se déroule dans une atmosphère rigide
et cassante, allant aux extrêmes.
L'Humide
: L'humide est en opposition au sec, un processus de
synthèse, de liaison et de collectivisation, d'ouverture sur
la globalité et le collectif. Il est conduit dans une
atmosphère de détente et de souplesse.
Il existe cependant encore un cinquième élément. Un
élément qu'on appelle dans la tradition ésotérique
Akasha, qui signifie Éther ou Esprit. Puis il convient de
noter que certains voient le condensât Bose-Einstein l'être
ce cinquième élément.
En plus de
ces quatre éléments et de leurs caractéristiques,
l'astrologie Mésopotamiéenne, dont notre astrologie
découle d'une façon indirecte, attribuait une qualité,
ou une caractéristique, à chacune des quatre saisons.
Nous savons, que nous pouvons retracer l'astrologie jusqu'à la
Mésopotamie et l'Égypte ancienne à 5 000
ans avant Jésus Christ. À l'époque des anciens,
l'astronomie, l'astrologie et la religion ne font qu'un. Les étoiles,
les Planètes, le Soleil et la Lune représentaient des
divinités, puis selon ces anciens, le ciel ne reflétait
que ce qui se passait sur la Terre, où l'homme représentait
un microcosme. Ce n'est donc pas très étonnant que les
anciens aient intégré dans leurs vies quotidiennes la
lecture du ciel pour prédire les événements à
venir. Pour commencer avec la prévision des travaux des
champs, le bon moment des semences, puis quand les récolter.
Il ne faut donc pas être étonné que les anciens
avaient été intrigués par certaines étoiles
baladeuses, puisqu'ils avaient cherché un lien entre ces
étoiles baladeuses et les événements survenu sur
Terre. L'autre étrange similitude entre les religions et
l'astrologie telle que nous la connaissons aujourd'hui c'est que le
Soleil occupe la place principale, comme il le faisait chez les
peuples ayant un culte solaire.
Il n'y a pas seulement l'astrologie telle que les Grecs et Romains nous
l'avaient laissée, mais il y a aussi celles des Celtes, des
Égyptiens, des Chinois et même celle des Mayas, qui
restent les maîtres de cet art. Car il ne faut pas oublier que
les Mayas connaissaient la durée de l'année avec une
précision de 0,000005 %, puis la durée sidérale
de Vénus avec une précision de 0,0034 %. Et cela
sans ordinateur, sans satellite d'observation, ou d'autres outils
sophistiqués.
L'astrologie Égyptienne se base également sur l'association de
divinités et les étoiles et planètes. Les
Égyptiens par contre ne divisaient pas l'année en
quatre parties, mais en trois parties très importantes pour
eux. Les Égyptiens étaient apparemment moins concernés
par le printemps et l'automne, que par l'inondation annuelle de leurs
terres par le Nil. Les trois périodes se basent donc
spécifiquement sur ces faits. Nous trouvons donc chez eux les
trois notions « Inondation », « Semences »,
« Récoltes ». L'année était
consacrée à douze divinités, puis elle a ensuite
été sous divisée en vingt-huit périodes
de longueurs inégales. Ils attribuaient des qualités
différentes aux douze divinités, puis c'est de ce
calendrier qu'ils se servaient à des fins diverses.
L'astrologie Celte, dont le site de « Stonehenge » est un
témoin du passé, divise l'année en trente-six
périodes d'une longueur inégale, portant chacune le nom
d'un arbre. Les quatre saisons, portent également le nom d'un
arbre. Les Celtes auraient ainsi une astrologie utilisant quarante
noms d'arbre. Ce qui est intéressant à observer, c'est
que nous divisons à ce jour l'année astrologique
également en trente-six périodes. Car comme tout le
monde le sait, puis même si on ne le sait pas, il suffit de
regarder les horoscopes pour voir que chaque signe du zodiaque est
subdivisé en trois parties, avec chacune ses caractéristiques.
Les Chinois, eux, n'utilisent pas le Soleil comme référence,
mais la planète Jupiter, qui représente Zeus dans la
mythologie Grecque, sur douze périodes annuelles où les
années sont représentées par des animaux.
Nous pouvons, même si l'astrologie d'antan ne se base pas comme
l'astrologie d'aujourd'hui, sur une quelconque réalité
ni preuve formelle, cependant constater qu'elle était et est
toujours, sans doute, un résidu d'une religion antérieure.
Car il ne faut pas exclure, que l'astrologie telle que nous la
connaissons, serait un résidu des pratiques religieuses et
ésotériques des Atlantes
Signes et constellations du
zodiaque.
-
Signe
|
Symbole
|
Passage du
Soleil dans le signe.
|
Passage du
Soleil dans la constellation.
|
Bélier
|
|
21 Mars - 19
Avril
|
19 Avril - 13
Mai
|
Taureau
|
|
20 Avril - 20
Mai
|
14 Mai - 19
Juin
|
Gémeaux
|
|
21 Mai - 20
Juin
|
20 Juin - 20
Juillet
|
Cancer
|
|
21 Juin - 23
Juillet
|
21 Juillet - 9
Août
|
Lion
|
|
24 Juillet -
23 Août
|
10 Août
- 15 Sept.
|
Vierge
|
|
24 Août
- 22 Sept.
|
16 Sept. - 30
Oct.
|
Balance
|
|
23 Sept. - 22
Oct.
|
31 Oct. - 22
Nov.
|
Scorpion
|
|
23 Oct. - 21
Nov.
|
23 Nov. - 29
Nov.
|
Ophiucus
|
N'est pas
un signe du zodiaque.
|
30 Nov. - 17
Déc.
|
Sagittaire
|
|
22 Nov. - 21
Déc.
|
18 Déc.
- 18 Jan.
|
Capricorne
|
|
22 Déc.
- 19 Jan.
|
19 Jan. - 15
Févr.
|
Verseau
|
|
20 Jan. - 19
Févr.
|
16 Févr.
- 11 Mars
|
Poissons
|
|
20 Févr.
- 20 Mars
|
12 Mars - 18
Avril
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Ce tableau vous montre la différence entre un signe et une constellation
du zodiaque. Une personne née entre le 30 Novembre et le 17
Décembre ne correspond donc à aucun signe du zodiaque !
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