Était-elle l'Atlantide.
Étude de son emplacement et la raison de sa disparition.
English version.
Quelle période de l'année ?
À
quelle période de l'année l'événement
a-t-il eu lieu ? Eh! bien disiez-vous, nous ne connaissons pas
l'année exacte, comment pourrons-nous donc déterminer à
quelle période de l'année l'événement
aurait-il pu avoir lieu ? Quels indices avons-nous pour savoir la
période de l'année ? Mais avant de voir les indices,
il faut déjà se poser la question ; c'était
quand l'hiver ? C'est, peut être, à première
vue une question idiote, mais il faut tenir compte du fait que
l'équinoxe de printemps avance actuellement d'un jour chaque
soixante et onze ans. Si nous divisons donc le nombre d'années
qui se sont écoulées depuis la disparition supposée
de l'Atlantide, par soixante et onze, on voit que l'équinoxe
du printemps et avec lui l'hiver, était cent soixante-quinze
jours plus tôt. La nuit la plus longue et le milieu de
l'hiver donc, tombaient jadis entre le trente Juin et le premier
Juillet !
Signe
du zodiaque de Dendérah.
Le zodiaque de Dendérah contient un signe un peu spécial
dans l'ère du Lion, qui est un lion dans une barque.
Ce signe se positionne selon les interprètes sur 9792 ans avant
Jésus Christ. Mais selon ces interprètes, le fait que
cette barque contient un lion pourrait vouloir dire que cette
catastrophe n'était pas seulement présent durant l'ère
du Lion, mais aussi pendant que le Soleil était dans le signe
du Lion, ce qui nous amène globalement vers les mois d'Août
et Septembre.
Le
mammouths congelés.
Avant de se poser des questions sur les mammouths congelés, il
faudra déjà se faire une idée du climat avant ce
changement brutal. Même si à ce jour il existe une
grande quantité de théories à ce sujet, il
faudra déjà voir à quel climat correspondrait la
nourriture qu'on avait trouvée dans les estomacs des mammouths
congelés. Car aujourd'hui un climat où nous pourrions
trouver des pins, des herbes, des mélèzes et des
saules, se trouve dans des régions de montagne entre mille
cinq cents et deux mille mètres d'altitude. C'était
donc une région où la température était
de vingt degrés en été jusqu'à moins
trente en hiver. Ce n'était certainement pas la Côte
d'Azur, mais ce climat ne correspondrait pas non plus à celui
de la Sibérie d'aujourd'hui. Si l'événement
s'était produit en été, les mammouths auraient
eu le temps de migrer vers le sud, car ils pouvaient parfaitement
résister à une chute de température de vingt à
zéro degré, ou même de moins cinq à moins
dix. Si, par contre, l'événement s'était
déroulé en hiver, quand il faisait déjà
moins vingt, une chute de température jusqu'à moins
quarante degrés, ou même plus, ils auraient eu peu de
chance de partir et encore moins de survivre. Nous pouvons donc
estimer que l'événement aurait dû se dérouler
pendant les mois d'hiver, de mi-Mai jusqu'à mi-Septembre, ce
qui est curieusement la même période de l'année
que celle du zodiaque de Dendérah.
L'inclinaison
de l'axe de la rotation terrestre.
Pourquoi l'inclinaison de l'axe de la rotation terrestre est-elle importante ?
Nous savons tous et toutes que la Lune provoque des marées.
Mais dans le cas, comme maintenant, d'une inclinaison qui ne
correspond pas à l'inclinaison de l'orbite de la Lune, les
marées provoquées par la Lune se font d'une façon
asymétrique. La force de ces marées exercée
sur la croûte terrestre va forcement influencer la rotation
terrestre et cette rotation va se modifier très lentement.
Nous pouvons donc nous attendre à ce que l'axe de la rotation
terrestre et avec lui l'emplacement des pôles et l'orientation
dans l'espace, se modifient. Ce mouvement, qu'on croit aujourd'hui
circulaire se fait justement tel que l'équinoxe de printemps
se déplace d'un jour tous les soixante et onze ans. Mais de
prétendre que ce mouvement soit circulaire, il faudra voir.
Il est fort à parier, que ce mouvement soit un mouvement en
spirale. C'est justement ce mouvement en spirale qui amènerait
lentement mais sûrement l'axe de la rotation terrestre vers une
position ou cet axe de rotation correspondrait de nouveau à
l'inclinaison de l'orbite lunaire.
Nous savons que l'inclinaison de l'orbite lunaire est à peu près
de six degrés et que l'inclinaison de l'axe de la rotation
terrestre est à peu près vingt-trois degrés.
Nous voyons donc que la différence est de dix-sept degrés
et correspond par là, à peu près, au déplacement
supposé des pôles. Ce qui pourrait signifier que ce
déplacement aurait dû avoir lieu quand ces deux axes
étaient alignés. Puis, ces axes ne se sont alignés
que pendant les éclipses Solaires ! Nous pouvons ainsi sans
trop de risque conclure que l'impact aurait dû avoir lieu, soit
pendant les mois de Février-Mars, soit pendant les mois
Août-Septembre. Nous savons que l'impact n'avait pas
seulement eu lieu pendant un alignement, mais également dans
le même sens. Puis en inspectant l'angle de l'inclinaison
d'orbite Lunaire, nous pouvons voir que c'est pendant les mois de
Août-Septembre que cet angle était dans le même
sens. Ce qui voudrait dire, en tenant compte que le milieu de
l'hiver se trouvait jadis au premier Juillet, que l'impact aurait dû
avoir lieu à la fin d'hiver, début de printemps. Le
début de printemps a depuis l'événement presque
fait un demi-tour, c'est à dire à peu près cent
soixante-dix jours.
Récit
des Cheyennes, indiens d'Amérique du nord.
Les Cheyennes, indiens de l'Amérique du Nord, nous avaient laissé
le seul mythe faisant allusion à une période de l'année
spécifique, qui confirme un événement ayant
causé un déluge pendant, ou à la fin de l'hiver.
Ce récit ne fait pas, comme d'autres mythes, allusion à
une pluie, qui serait à l'origine de l'inondation, mais il
nous apporte une précision non négligeable. En
faisant allusion à des éruptions volcaniques et
tremblements de terre, ce récit pourrait nous indiquer que
l'événement était bien dû à une
collision avec un corps céleste.
Note
:.
Nous pouvons nous demander pourquoi insister sur un déplacement
dans le même sens, c'est à dire à un moment où
l'inclinaison de la Terre aurait été la même que
celle de l'orbite lunaire. Parce-que ceci est une simple question
d'addition. Car dans le cas d'un déplacement des pôles
de dix-sept degrés, l'addition de dix-sept plus six fait
vingt-trois, comme c'est le cas maintenant. Un déplacement
vers l'autre sens par contre, n'aurait pas fait une addition, mais
une soustraction et le résultat final aurait été
la différence ente dix-sept et six, en autres mots onze. La
Terre aurait montré une inclinaison de onze degrés dans
ce cas, à la place des vingt-trois d'aujourd'hui. Puis dans
le cas d'un déplacement latéral, c'est à dire
avec un angle de quatre-vingt-dix degrés l'un par rapport à
l'autre, il faudra faire la racine carré de l'addition des
carrés de dix-sept et six. L'inclinaison de la Terre aurait
été, dans ce cas, de dix-huit degrés à la
place des vingt-trois.
À quel moment l'inclinaison de la Terre et de la Lune se trouvait-elle
dans le même sens ? Ceci est le cas quand la Lune est dans
une position pour une éclipse solaire, c'est à dire
Février-Mars ou Août-Septembre. Puis à cause de
l'inclinaison de l'orbite, c'est seulement pendant la période
Août-Septembre qu'elle est positionné dans le même
sens.
Il
nous suffit maintenant de réaliser un simple calcul, puisque
nous pouvons faire une estimation, qu'avec une inclinaison identique
à celle de l'orbite lunaire, le milieu d'hiver, qui se situe
maintenant au 22 Décembre, aurait dû être le
premier Juillet. Cela nous positionne l'équinoxe du
printemps au 30 Septembre.
Si nous multiplions ensuite le décalage en jours, en prenant une
marge, entre la position d'une éclipse Solaire en Automne
jusqu'à l'équinoxe de printemps suivant, avec
soixante-et-onze, on obtient une date allant de 9 350 à
10 700 ans avant Jésus Christ.
Cette plage de dates correspond tout à fait avec les indications de
Platon, qui avait situé l'événement vers 9 600
ans avant Jésus Christ.
Un fait intéressant à observer est que la population
Atlante aurait dû voir une éclipse solaire, suivie d'une
apparence d'une comète, ou d'autre objet céleste, se
rapprochant rapidement de la Terre, juste avant la destruction de
leur pays. La peur ancestrale, des éclipses solaires et de
l'apparence des comètes dans le ciel, n'est peut-être
pas aussi anodine qu'on le croit.
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