Était-elle l'Atlantide.
Étude de son emplacement et la raison de sa disparition.
English version.
L'Égypte ancienne, héritage
culturel de l'Atlantide ?
N
ous connaissons tous l'Égypte ancienne avec ses momies, pharaons
et pyramides. Leur avance culturelle, d'où venait-elle ?
Leur culture, ne serait-elle pas un héritage culturel de
l'Atlantide ? Aussi bien Platon dans ces dialogues de Timée
et Critias, que Cayce dans ses lectures, avaient relaté que la
population atlante avait contact avec la culture égyptienne.
Ils avaient même mentionné, que les atlantes qui
fuyaient leur continent, avaient rejoint entre autre l'Égypte,
en emportant avec eux leur culture et un grand nombre de documents.
C'est d'ailleurs cela que les prêtres égyptiens
confirmaient 9 000 ans plus tard à Solon. Ils avaient
confirmé à Solon qu'ils possédaient les papyrus
concernant ce qu'ils lui avaient dit. Ces documents n'existent
certainement plus à ce jour, car la bibliothèque
d'Alexandrie a été détruite à deux
reprises. C'est peut être bien ce contact avec la culture
atlante qui explique ce miracle égyptien, qui reste encore une
énigme à ce jour. Les égyptiens avaient une
avance technologique, scientifique et médicale considérable.
Ce contact avec la culture d'Atlantide pourrait également
expliquer l'énigme sociologique ; leurs pyramides et
mégalithes faisaient-ils partie de l'héritage atlante ?
Est-ce que l'Égypte avait pris, sans vraiment le vouloir,
sur elle la mission de prolonger la tradition Atlante jusqu'à
nos jours ? Nous trouvons en effet un peu partout de ces
traditions, chez les Grecs anciens, les Templiers, chez les
alchimistes, les Francs-maçons et même les Rose-croix.
Il ne faut pas oublier les étranges similitudes culturelles de certaines
populations. D'autant plus, ce sont justement ces populations chez
lesquelles nous trouvons ces étranges similitudes, où
les Atlantes auraient fui lors de la destruction de leur île.
Nous trouvons également des pyramides chez les indiens
Mexicains. Il y avait également une momie, ou même des
momies, chez des indiens d'Amérique, dont une avait au moins
neuf à dix mille ans. Ces indiens avaient, tout comme les
anciens égyptiens, la manie d'induire leurs corps et leurs
tombes d'ocre rouge. C'est d'ailleurs à cause de cette manie
qu'on avait donné aux indiens d'Amérique le surnom
« Peaux Rouges ». Il ne faut pas non plus
oublier Les Guanches des Canaries, les Basques, puis les Berbères
aux traditions et langages totalement étrangers à leur
environnement géologique et culturel. Il est fort probable
que ces peuples seraient une mémoire culturelle de
l'Atlantide, tout comme l'étaient les égyptiens. Les
endroits où habitent ces peuples étaient, selon Platon
et Cayce, les endroits où jadis le peuple atlante avait fui.
L'archéologue contemporain et homme de l'art Sean Suchy avait mis, dans son livre
« L'Archéologie d'avant l'histoire (Éditions
Laffont) », les constructions égyptiennes dans un
contexte mondial.
Il écrit :
« ...combien
l'usinage de blocs de plusieurs centaines de tonnes comparables à
ceux du trilithon de Balbeck, ou aux énormes masses de granit
de la chambre sépulcrale de Guizeh est une performance
inaccessible aux techniques de pointe les plus sophistiquées
de notre civilisation... »
Ensuite il poursuit :
« ...de
même l'ajustage des blocs qui est réalisé avec
une perfection pour les plus lourds d'entre eux comme pour les plus
légers,de sorte qu'il n'est pas possible, suivant l'exemple
couramment évoqué, de glisser une lame de rasoir entre
les éléments constitutifs des colonnes du Parthénon,
des blocs de Guizeh, ou des murailles incas, cet ajustage ne serait
être obtenu avec succès par les moyens de notre
technologie... »
Les scientifiques d'aujourd'hui jugent, s'appuyant sur des mesures et
calculs refaits sur place, que les constructeurs des pyramides
d'Égypte n'auraient jamais pu construire ces pyramides sans
moyens technologiques supérieurs au nôtre. La raison
qu'ils avancent est très simplement celle où on dit ;
« Nous ne savons pas le faire et de ce fait il serait
impossible que quelqu'un d'autre le sache, ou l'aurait su. »
Mais est-il bien raisonnable de raisonner ainsi ? Ne faut-il pas,
peut-être, se mettre à la place d'un simple ouvrier et
se demander comment lui comptait le faire. C'est en fait ce que
certains ont réalisé ; un archéologue,
pratiquant l'archéologie expérimentale, à bien
réussi à démontrer qu'on pouvait construire un
mur, comme les Incas l'avaient fait, avec des moyens simples. C'est
une équipe de télévision de tournage en Égypte
qui avait fait ce même genre d'expérience et qui à
été présentée sur la cinquième et
le TLC. Ils avaient en fait demandé à une douzaine
d'ouvriers illettrés égyptiens de mettre un bloc de
granit de plusieurs tonnes sur une marche d'une pyramide. Ils
s'attendaient donc à des techniques que nous connaissons, avec
une rampe, des cordes et cetera. Mais les ouvriers, eux, n'avaient
pas besoin de tout ça et avaient, avec des moyens d'une
simplicité déconcertante, montée ce bloc de
plusieurs tonnes à l'endroit prévu en une quarantaine
de minutes. Nous pouvons donc constater que ces ouvriers avaient,
malgré le fait qu'ils étaient illettrés, en eux
encore ce savoir faire des atlantes, ce que nous n'avons décidément
pas, ou plus. Ces mêmes ouvriers savaient d'ailleurs aussi
comment tailler un bloc dans une paroi, c'était assez simple,
si on sait comment faire ! Nous pouvons donc constater que certains
peuples ont en effet conservé une partie de culture et savoir
faire des atlantes, même si ce savoir-faire s'est dilué
au fil du temps. Nous devrions peut-être conclure que, si
certaines choses ne sont pas possibles avec nos moyens
technologiques, ce n'est pas une question d'impossibilité,
mais ce sont nos moyens technologiques qui ne sont pas adaptés
au besoin.
Aussi bien Platon que Cayce ont mentionné que certains atlantes avaient
réussi à fuir vers différents pays, dont
l'ancienne Égypte. C'est en fait un historien arabe du
neuvième siècle, qui avait fait allusion à des
chambres cachées dans les pyramides. Lui, il précise
qu'une pyramide d' Égypte aurait été construite
trois siècles avant le déluge. La date de la
construction mentionnée par cet historien nous amène,
en considérant qu'ils croyaient jadis que le déluge
avait eu lieu à peu près vingt-cinq siècles
avant Jésus Christ, vers l'époque où les grandes
pyramides de Guizeh ont été construites. Cette date
de construction correspond donc assez bien avec ce que les égyptiens
nous avaient laissé en hiéroglyphes, lesquels étaient
encore indéchiffrables au neuvième siècle.
L'historien arabe relate que la pyramide contenait des caves voûtées
remplies de talismans, d'objets étranges, d'instruments en fer
et d'armes qui ne rouillaient pas, de modèles de vaisseaux en
argiles, de verreries qu'on pouvait plier sans briser,... Il est
clair que ces objets avaient été mis là par une
civilisation antérieure qui n'aurait pas seulement connu le
fer inoxydable, mais également une matière qui
ressemble aux plastiques d'aujourd'hui.
Mises à
part les citations de cet historien arabe du neuvième siècle,
il existe également des chroniques en provenance du lettré
Al Massoudi du dixième siècle. Il mentionne également
dans ses chroniques l'existence de salles souterraines se situant
sous ou à proximité des grandes pyramides, dont il
avait dit qu'il s'y trouvait :
« ...Un
trésor qu'aucune imagination humaine ne peut évaluer ni
même concevoir... »
« ...Une
vieille légende raconte même qu'il fut ramené en
Égypte il y a très longtemps par nos ancêtres supérieurs
qui venaient de l'autre côté de la mer... »
« ...Un
trésor qui contient des pierres plus rares et les plus
précieuses... »
« ...des
merveilles de la haute science héritée de nos ancêtres,
des instruments prodigieux qui multiplient les dimensions et les
pouvoirs de l'homme, qui lui permettent de mesurer le temps, prévoir
l'avenir, voler dans les airs, avancer sous l'eau aussi facilement
que sur la Terre... »
Ce qui est intéressant, est que Cayce, lui aussi, avait fait allusion au
fait que les atlantes avaient caché des documents, rouleaux
sacrés et autres dans un lieu qu'il nommait « Hall
Of Records », à ne pas confondre avec un lieu
d'enregistrement comme nous les avons dans les aéroports. Le
terme « Hall Of Records » signifie ici plutôt
« Salle d'archives » et c'est comme tel qu'il
faudra le voir. Selon Cayce, cette « Salle d'archives »
ne serait pas encore découverte, car les atlantes semblent
avoir pris soin de bien cacher leurs trésors, de telle sorte
qu'il deviendra peu probable que leurs documents soient profanés
par ceux qui ne seraient pas en mesure d'en comprendre leur
importance. Ces affirmations de Cayce auraient poussé
certains à affirmer que la grande pyramide de Guizeh n'aurait
pas été construite vers deux mille cinq cents ans avant
Jésus Christ, mais qu'elle datait de 10 500 à
10 400 ans avant Jésus Christ. Les affirmations de
Cayce sont une raison pour certains de croire que cette pyramide
serait beaucoup plus ancienne que deux mille cinq cents ans avant
Jésus Christ. Mais une autre raison, qui prête à
croire cela, pourrait être le fait que cette pyramide contient
un petit tunnel qui pointe vers un endroit où se trouvait
Cirrus 10 500 ans avant Jésus Christ. Mais il faudra
peut-être séparer deux faits, la date de la
construction, puis la date sur laquelle pointe ce petit tunnel. Les
égyptiens avaient peut-être une raison de la pointer,
tout comme ils avaient fait avec ce fameux zodiaque de Dendérah,
dont un signe, un lion dans une barque, indique d'ailleurs une date
d'à peu près mille ans plus tard, c'est à dire à
9792 ans avant Jésus Christ.
Le lieu que les atlantes avaient finalement choisi pour leur « Salle
d'archives », qui devait servir de lieu de stockage de
leur savoir ésotérique, religieux, scientifique et
leurs lois, était le plateau jadis très fertile de
Guizeh. Ce plateau était même à l'époque
connu des atlantes pour avoir pu résister à de
multiples déluges, inondations et tremblements de Terre. Ils
croyaient également que cet endroit était
approximativement le centre mathématique des continents
terrestres et que cette « Salle d'archives »
serait ainsi moins perturbée par les futurs tremblements de
Terre et déluges. Cette « Salle d'archives »
à été enfermée dans sa propre pyramide,
qui devait rester cachée pendant des milliers d'années.
Cette pyramide devait se trouver entre le Sphinx et La Grande
Pyramide. Depuis la patte droite du Sphinx, nous devrions trouver
une entrée qui permettrait l'accès à la « Salle
d'archives ». Cet accès ne devait être
découvert qu'au moment où l'humanité aurait
acquis un niveau spirituel suffisamment élevé, au début
de la cinquième ère.
S'il y avait un héritage culturel de l'Atlantide en Égypte, il
serait bien sous forme des religions qu'on y trouvait jadis. Même
si nous possédons très peu d'informations concernant
les religions de l'Atlantide, nous pouvons cependant nous faire une
image en lisant ce que Platon et Cayce nous avaient laissé.
Nous ne devrions pas considérer les écrits de Platon et
les lectures de Cayce comme contradictoires, mais comme
complémentaires. Les écrits de Platon forment, eux,
une description plutôt globale, sans rentrer dans les détails
individuels des gens. Tandis que l'ensemble des lectures de Cayce
est avant tout une mosaïque d'expériences de vies des
gens, vue individuellement rendant une vision globale difficile.
Nous pouvons, en mettant les deux l'un à côté de
l'autre, nous faire une meilleure idée de la vie sur ce pays
qui était jadis l'Atlantide. La première impression
que ces informations nous donnent, est le fait que l'Atlantide semble
avoir eu, tout comme l'Égypte ancienne, deux religions. Mais
oui, l'Égypte ancienne avait bel et bien deux religions ; une
religion polythéiste, celle des pharaons et de la classe
dirigeante, puis une religion monothéiste pratiquée par
les plus basses classes de la société égyptienne,
qui étaient les hébreux. L'Atlantide avait
apparemment connu une situation similaire, où la religion
polythéiste se nommait « Fils de Belial »
et formait l'essentiel de la classe dirigeante et les tenants du
pouvoir, puis la classe des ouvriers et paysans appartenait plutôt
aux « Fils de la loi d'Un». Cayce affirme
d'ailleurs dans sa lecture 1007-3, que les « Fils de la
loi d'Un» ne seraient rien d'autre que les ancêtres de la
population juive. Les « Fils de Belial »,
eux, utilisaient leur doctrine religieuse et spirituelle surtout pour
leur propre avantage matériel, comme nous le connaissons de
l'époque des pharaons. Une autre similitude est le
traitement réservé aux plus basses classes, car la
société atlante était, comme l'Égypte
ancienne, divisée en classes. Les classes les plus
défavorisées, les ouvriers et les paysans, n'étaient
même pas traitées en tant que humains, on les traitait
en tant que “choses”, une classe d'intouchables, comme
dans l'Inde d'aujourd'hui. Même si les égyptiens ne
connaissaient pas les esclaves jusqu'à l'invasion de leur pays
par Alexandre le Grand, le sort réservé aux plus basses
classes était guère mieux. Tout juste s'ils ne les
traitaient pas comme des animaux. Les « Fils de la
loi d'Un » ( les ancêtres du peuple juif )
ne connaissaient pas de meilleur traitement pendant leur existence
sur l'Atlantide, où ils étaient nommés “choses”,
ce qui nous laisse un mauvais présage du traitement qui leur
était réservé. Le pire était réservé
aux enfants issus des mariages mixtes. Rejeté par les deux
camps, ces enfants étaient traités comme des animaux.
Nous ne possédons pas à ce jour de traces écrites
que ceci se passait de la même façon en Égypte
ancienne, mais on pourrait s'en douter.
Une autre similitude, que l'Égypte ancienne partage avec l'Amérique
latine, c'est que leurs religions avaient comme dieu suprême le
Soleil. Les « Fils de la loi d'Un»
adoraient à l'époque également le Soleil, sauf
que les « Fils de la loi d'Un » ne
connaissaient pas toute cette panoplie de sous-dieux, deux adjoints,
annexes et cetera. Cette notion de dieu Soleil semble avoir disparu
lors de leur séjour en Égypte, pour être
remplacée par celle de “dieu” que nous connaissons
à ce jour. Nous trouvons d'ailleurs aussi bien dans les
lectures de Cayce, que dans les anciens documents égyptiens,
les noms de ce dieu Soleil, dont le nom le plus souvent cité
était le nom « Ra » ou « Ra-Ta »,
mais aussi « Re ».
|