Les dieux, qui habitaient sur Terre, seraient partis chez eux.

ussi bien l'Égypte ancienne, que la Grèce ancienne, mentionnent dans leurs écrits sacrés que leurs dieux vivaient chez eux, mais que ces dieux seraient partis un jour. Les grecs nous racontent bien comment leur dieu Apollon vivait jadis parmi le peuple et comment il soignait les malades, réconfortait les malheureux et comment il aurait appris l'art de l'écriture, de la philosophie et de la musique au peuple. Sa soeur, la belle Anthémis, aurait, elle aussi, été signalée parmi le peuple et comment elle avait, dans la fraîcheur du matin, ensorcelé les bergers incrédules avec ses mélodies divines. Mais mis à part Apollon et sa soeur, la belle Anthémis, la Grèce ancienne connaît d'autres dieux, des demi-dieux et autres héros légendaires. Ils constituaient une société d'immortels, qui avaient apparemment des qualités étonnement similaires à nous, les mortels. Ils n'avaient pas seulement des qualités humaines, mais la structure de leur société était également un reflet même de la société grecque de l'époque. Ils avaient une apparence humaine, se mettaient en colère, se laissaient séduire, ils prenaient des décisions aléatoires et oubliaient leurs promesses. Tout comme le dieu de la Bible, les divinités grecs regrettaient leurs actes et étaient capables de sentiments de regret. Ils n'avaient pas seulement une apparence humaine, mais de nombreuses légendes et mythes nous apprennent que cela ne s'arrête pas là. Nombreuses sont en effet les histoires religieuses et mythiques, qui font allusion au fait que les dieux avaient des enfants avec des humains. Ces, soit disant, dieux n'étaient donc pas faits de matière spirituelle, mais bel et bien de chair et os, comme tout le monde. Nous constatons que les “dieux” pouvaient avoir des enfants avec les humains. Ainsi un homme “dieu” et une femme humaine, donnaient naissance à des géants. Des géants dont nous trouvons aussi bien les traces dans les mythes, que des ossements de gens mesurant de 2 mètres 60 à 4 mètres, un peu partout. D'après les mythes et légendes, le contraire, c'est à dire femme “dieu” avec homme humain, existait autant. Ici par contre, il n'est pas question de géants, même que les indiens de l'Amérique nous racontent de fréquentes naissances multiples, il semble qu'il n'y a pas de problème de naissance de géants dans ce sens. Cela pourrait nous indiquer qu'il y avait visiblement une incompatibilité dans le chromosome mâle, le chromosome “Y”, de ces “dieux”. Mais les mythes des dieux vivant parmi la population ne s'arrêtent pas là, il y a également les égyptiens, qui mentionnent que leurs dieux vivaient jadis parmi eux en Haute-Égypte. Les mythes divins des Grecs et des égyptiens avaient également un point commun, qui était le fait que leurs dieux possédaient des chars pour se rendre dans les cieux. Même qu'ils croyaient qu'ils habitaient vraiment au-delà des étoiles, c'est en tout cas sûr que ces gens, que les grecs et les égyptiens prenaient pour des dieux, n'étaient visiblement pas de la même race et appartenaient manifestement à une civilisation supérieure à la leur. La Bible, elle aussi, a ce genre de témoignages. Il y a, là dedans des descriptions qui ne peuvent être observées qu'à partir d'une très grande altitude. De plus La Bible fait allusion à des espérances de vie bien au-delà de notre espérance de vie actuelle. Ces gens, ainsi décrits, étaient-ils une espèce différente ? Y avait-il eu un mélange de deux espèces pour donner comme résultat notre espèce actuelle ? Nous pourrions y croire, surtout quand nous voyons la diminution progressive de l'âge des différents héros décrits. Il va de 960 ans pour Mathusalem, 600 ans pour Noah, pour devenir normal d'une façon progressive. Nos héros bibliques, étaient-ils en réalité des survivants d'une catastrophe générale ? Comme veulent nous le faire croire un grand nombre de religions et mythes.

Le temps où les dieux vivaient parmi les mortels, est peut-être un mythe universel que nous risquons de trouver un peu partout, dans une forme ou une autre. Les prêtres égyptiens avaient raconté à un chroniqueur de l'époque, que les dieux vivaient parmi les mortels en tant que dirigeants supérieurs. Ils auraient eu leur dernier mot à dire dans la gestion du pays là où ils étaient supérieurs aux autres dirigeants. Le chroniqueur avait même calculé que cette époque datait de 11 340 ans avant Jésus Christ. Il se basait là sur le fait que les prêtres égyptiens lui avaient montré, en récompense de son amitié et de sa confiance, les 341 statuettes de prêtres décédés avant eux. Chaque statuette représentait ainsi une génération égyptienne. Ils avaient raconté que les documents étaient traités et mis à jour avec beaucoup de soin. Ils racontaient également qu'on avait commencé avec la constitution de ces statuettes dès le départ chez lui du dernier dieu. Si nous procédons à un calcul simple, ces 341 grands prêtres successifs nous amènent à une époque, où Platon situait la disparition de l'Atlantide, ou juste avant. Nous pouvons nous demander si ces soit disant dieux, n'étaient rien d'autres que les atlantes. Parce-qu'il est admis que les atlantes dirigeaient, comme les anglais le faisaient au 19^ème siècle, une grande partie du monde, y compris l'Égypte ancienne.

Une autre région où nous trouvons également le mythe d'un dieu qui vivait parmi les mortels et qui était parti un jour, est l'Amérique du sud, ou pour être plus précis chez les Aztèques. Les Aztèques, eux aussi, avaient leur dieu, Quetzalcòatl, qui était parti un jour, avec la promesse de revenir. Les Aztèques avait visiblement hérité leur culture de leurs prédécesseurs, les Mayas. Nous ne connaissons pas à ce jour les prédécesseurs des Mayas, mais au vu de l'ancienneté de leur calendrier, ils pourraient bien être des descendants indirects, ou même directs, des atlantes, qui auraient dû fuir leur pays.

Mis à part des mythes et légendes religieux, nous avons déjà la preuve que les géants avaient bel et bien existé. Nous ne devrions pas non plus exclure l'existence d'une race ayant une espérance de vie bien supérieure à nous, même si nous n'avons aucune preuve à ce jour. L'hypothèse qu'une espèce humaine avec une espérance de vie telle qu'elle est mentionnée dans la Bible, c'est à dire de 800 à 1000 ans, aurait existé, laisse évidement l'impression aux autres races, dont l'espérance de vie ne dépassait guère les 50 ans, d'être des immortels. Même s'ils n'étaient visiblement pas immortels, ils auraient bien donné cette impression aux autres races humaines de l'époque. Ajoutons à ce phénomène d'impression d'immortalité, le fait que la durée de l'apprentissage religieux, culturel et professionnel était nettement plus long et permettait d'approfondir les connaissances dans les différentes matières. Cette supériorité technologique et culturelle donnerait à coup sûr aux autres races une impression divine. Enfin, le fait qu'ils pouvaient en plus être des dirigeants de pays, comme nous, les Européens, l'avons été avec les colonies, contribuait évidement aussi à cette impression divine.

Nous pouvons aisément nous imaginer comment les Français du Moyen Âge auraient réagi sur la présence de notre technologie et culture actuelle, accompagnée d'une espérance de vie dix fois supérieure à la leur. Si en plus ils dirigeaient la France, par les rois interposés, depuis leur quartier à proximité de Paris, où ils s'étaient installés. Puis imaginez vous ce qui se passerait s'ils partaient un jour chez eux, sans laisser ni message, ni trace et sans jamais revenir. Ça donnerait naissance à tout genre de légendes.

En tout cas, quels qu'ils soient, qui ils étaient et d'où ils venaient, ils avaient parmi eux, ceux qui savaient visiblement ce qui se passait, ou allait se passer. Puis ajoutons à cela de nombreuses allusions aux mythes d'une grande inondation, où il y avait toujours un couple qui avait été averti en temps utile. Étaient-ils les atlantes dont certains, probablement l'élite et les nantis, ont réussi à se sauver ailleurs sur la Terre, ou dans l'espace peut-être ? S'agissait-il d'une civilisation venant d'une autre planète, qui vivait parmi nous ? Nul ne le sait. Mais peut-être le verrons nous un jour.