Était-elle l'Atlantide ? Wolter Smit  
France  


Page d'acceuil.
Avant propos.
Introduction.
Platon et l'Atlantide.
Cayce et l'Atlantide.
Ses habitants, sa taille.
Sa disparition.
Indices et questions.
À quel endroit.
Le fond de l'océan.
Des continents soulevés ?
Une île dans l'atlantique ?
Le gulf stream.
L'emplacement des pôles.
Des pôles déplacés.
L'eplacement de l'impact.
Le déluge.
Références au déluge.
Réchauffement climatique.
La disparition, quand ?
Quelle période ?.
Autres événements.
Alignements planétaires.
Nos planètes.
L'ancienne Égypte.
Similitudes culturelles.
L'astrologie, une héritage ?
Souvenirs d'autres vies.
Les dieux partis ches eux.
Nos religions.
Évidences archéologiques.
La trouvaille de Dr Brown.
Évidences dans les mythes.
Était-elle l'Atlantide ?
Remerciments.
Liens.
Fichiers à télécharger.
Achetez la version paper :   Support independent publishing: Buy this book on Lulu.     Achetez "Encore dix jours" :   
Une histoire de deux jeunes atlantes forcés de quiter leur île.
Support independent publishing: Buy this book on Lulu.
   
Était-elle l'Atlantide.
Étude de son emplacement et la raison de sa disparition.
English version.

L'Égypte ancienne, héritage culturel de l'Atlantide ?


N

ous connaissons tous l'Égypte ancienne avec ses momies, pharaons et pyramides. Leur avance culturelle, d'où venait-elle ? Leur culture, ne serait-elle pas un héritage culturel de l'Atlantide ? Aussi bien Platon dans ces dialogues de Timée et Critias, que Cayce dans ses lectures, avaient relaté que la population atlante avait contact avec la culture égyptienne. Ils avaient même mentionné, que les atlantes qui fuyaient leur continent, avaient rejoint entre autre l'Égypte, en emportant avec eux leur culture et un grand nombre de documents. C'est d'ailleurs cela que les prêtres égyptiens confirmaient 9 000 ans plus tard à Solon. Ils avaient confirmé à Solon qu'ils possédaient les papyrus concernant ce qu'ils lui avaient dit. Ces documents n'existent certainement plus à ce jour, car la bibliothèque d'Alexandrie a été détruite à deux reprises. C'est peut être bien ce contact avec la culture atlante qui explique ce miracle égyptien, qui reste encore une énigme à ce jour. Les égyptiens avaient une avance technologique, scientifique et médicale considérable. Ce contact avec la culture d'Atlantide pourrait également expliquer l'énigme sociologique ; leurs pyramides et mégalithes faisaient-ils partie de l'héritage atlante ? Est-ce que l'Égypte avait pris, sans vraiment le vouloir, sur elle la mission de prolonger la tradition Atlante jusqu'à nos jours ? Nous trouvons en effet un peu partout de ces traditions, chez les Grecs anciens, les Templiers, chez les alchimistes, les Francs-maçons et même les Rose-croix.

Il ne faut pas oublier les étranges similitudes culturelles de certaines populations. D'autant plus, ce sont justement ces populations chez lesquelles nous trouvons ces étranges similitudes, où les Atlantes auraient fui lors de la destruction de leur île. Nous trouvons également des pyramides chez les indiens Mexicains. Il y avait également une momie, ou même des momies, chez des indiens d'Amérique, dont une avait au moins neuf à dix mille ans. Ces indiens avaient, tout comme les anciens égyptiens, la manie d'induire leurs corps et leurs tombes d'ocre rouge. C'est d'ailleurs à cause de cette manie qu'on avait donné aux indiens d'Amérique le surnom « Peaux Rouges ». Il ne faut pas non plus oublier Les Guanches des Canaries, les Basques, puis les Berbères aux traditions et langages totalement étrangers à leur environnement géologique et culturel. Il est fort probable que ces peuples seraient une mémoire culturelle de l'Atlantide, tout comme l'étaient les égyptiens. Les endroits où habitent ces peuples étaient, selon Platon et Cayce, les endroits où jadis le peuple atlante avait fui.

L'archéologue contemporain et homme de l'art Sean Suchy avait mis, dans son livre « L'Archéologie d'avant l'histoire (Éditions Laffont) », les constructions égyptiennes dans un contexte mondial.

Il écrit :

« ...combien l'usinage de blocs de plusieurs centaines de tonnes comparables à ceux du trilithon de Balbeck, ou aux énormes masses de granit de la chambre sépulcrale de Guizeh est une performance inaccessible aux techniques de pointe les plus sophistiquées de notre civilisation... »

Ensuite il poursuit :

« ...de même l'ajustage des blocs qui est réalisé avec une perfection pour les plus lourds d'entre eux comme pour les plus légers,de sorte qu'il n'est pas possible, suivant l'exemple couramment évoqué, de glisser une lame de rasoir entre les éléments constitutifs des colonnes du Parthénon, des blocs de Guizeh, ou des murailles incas, cet ajustage ne serait être obtenu avec succès par les moyens de notre technologie... »

Les scientifiques d'aujourd'hui jugent, s'appuyant sur des mesures et calculs refaits sur place, que les constructeurs des pyramides d'Égypte n'auraient jamais pu construire ces pyramides sans moyens technologiques supérieurs au nôtre. La raison qu'ils avancent est très simplement celle où on dit ; « Nous ne savons pas le faire et de ce fait il serait impossible que quelqu'un d'autre le sache, ou l'aurait su. » Mais est-il bien raisonnable de raisonner ainsi ? Ne faut-il pas, peut-être, se mettre à la place d'un simple ouvrier et se demander comment lui comptait le faire. C'est en fait ce que certains ont réalisé ; un archéologue, pratiquant l'archéologie expérimentale, à bien réussi à démontrer qu'on pouvait construire un mur, comme les Incas l'avaient fait, avec des moyens simples. C'est une équipe de télévision de tournage en Égypte qui avait fait ce même genre d'expérience et qui à été présentée sur la cinquième et le TLC. Ils avaient en fait demandé à une douzaine d'ouvriers illettrés égyptiens de mettre un bloc de granit de plusieurs tonnes sur une marche d'une pyramide. Ils s'attendaient donc à des techniques que nous connaissons, avec une rampe, des cordes et cetera. Mais les ouvriers, eux, n'avaient pas besoin de tout ça et avaient, avec des moyens d'une simplicité déconcertante, montée ce bloc de plusieurs tonnes à l'endroit prévu en une quarantaine de minutes. Nous pouvons donc constater que ces ouvriers avaient, malgré le fait qu'ils étaient illettrés, en eux encore ce savoir faire des atlantes, ce que nous n'avons décidément pas, ou plus. Ces mêmes ouvriers savaient d'ailleurs aussi comment tailler un bloc dans une paroi, c'était assez simple, si on sait comment faire ! Nous pouvons donc constater que certains peuples ont en effet conservé une partie de culture et savoir faire des atlantes, même si ce savoir-faire s'est dilué au fil du temps. Nous devrions peut-être conclure que, si certaines choses ne sont pas possibles avec nos moyens technologiques, ce n'est pas une question d'impossibilité, mais ce sont nos moyens technologiques qui ne sont pas adaptés au besoin.

Aussi bien Platon que Cayce ont mentionné que certains atlantes avaient réussi à fuir vers différents pays, dont l'ancienne Égypte. C'est en fait un historien arabe du neuvième siècle, qui avait fait allusion à des chambres cachées dans les pyramides. Lui, il précise qu'une pyramide d' Égypte aurait été construite trois siècles avant le déluge. La date de la construction mentionnée par cet historien nous amène, en considérant qu'ils croyaient jadis que le déluge avait eu lieu à peu près vingt-cinq siècles avant Jésus Christ, vers l'époque où les grandes pyramides de Guizeh ont été construites. Cette date de construction correspond donc assez bien avec ce que les égyptiens nous avaient laissé en hiéroglyphes, lesquels étaient encore indéchiffrables au neuvième siècle. L'historien arabe relate que la pyramide contenait des caves voûtées remplies de talismans, d'objets étranges, d'instruments en fer et d'armes qui ne rouillaient pas, de modèles de vaisseaux en argiles, de verreries qu'on pouvait plier sans briser,... Il est clair que ces objets avaient été mis là par une civilisation antérieure qui n'aurait pas seulement connu le fer inoxydable, mais également une matière qui ressemble aux plastiques d'aujourd'hui.

Mises à part les citations de cet historien arabe du neuvième siècle, il existe également des chroniques en provenance du lettré Al Massoudi du dixième siècle. Il mentionne également dans ses chroniques l'existence de salles souterraines se situant sous ou à proximité des grandes pyramides, dont il avait dit qu'il s'y trouvait :

« ...Un trésor qu'aucune imagination humaine ne peut évaluer ni même concevoir... »

« ...Une vieille légende raconte même qu'il fut ramené en Égypte il y a très longtemps par nos ancêtres supérieurs qui venaient de l'autre côté de la mer... »

« ...Un trésor qui contient des pierres plus rares et les plus précieuses... »

« ...des merveilles de la haute science héritée de nos ancêtres, des instruments prodigieux qui multiplient les dimensions et les pouvoirs de l'homme, qui lui permettent de mesurer le temps, prévoir l'avenir, voler dans les airs, avancer sous l'eau aussi facilement que sur la Terre... »

Ce qui est intéressant, est que Cayce, lui aussi, avait fait allusion au fait que les atlantes avaient caché des documents, rouleaux sacrés et autres dans un lieu qu'il nommait « Hall Of Records », à ne pas confondre avec un lieu d'enregistrement comme nous les avons dans les aéroports. Le terme « Hall Of Records » signifie ici plutôt « Salle d'archives » et c'est comme tel qu'il faudra le voir. Selon Cayce, cette « Salle d'archives » ne serait pas encore découverte, car les atlantes semblent avoir pris soin de bien cacher leurs trésors, de telle sorte qu'il deviendra peu probable que leurs documents soient profanés par ceux qui ne seraient pas en mesure d'en comprendre leur importance. Ces affirmations de Cayce auraient poussé certains à affirmer que la grande pyramide de Guizeh n'aurait pas été construite vers deux mille cinq cents ans avant Jésus Christ, mais qu'elle datait de 10 500 à 10 400 ans avant Jésus Christ. Les affirmations de Cayce sont une raison pour certains de croire que cette pyramide serait beaucoup plus ancienne que deux mille cinq cents ans avant Jésus Christ. Mais une autre raison, qui prête à croire cela, pourrait être le fait que cette pyramide contient un petit tunnel qui pointe vers un endroit où se trouvait Cirrus 10 500 ans avant Jésus Christ. Mais il faudra peut-être séparer deux faits, la date de la construction, puis la date sur laquelle pointe ce petit tunnel. Les égyptiens avaient peut-être une raison de la pointer, tout comme ils avaient fait avec ce fameux zodiaque de Dendérah, dont un signe, un lion dans une barque, indique d'ailleurs une date d'à peu près mille ans plus tard, c'est à dire à 9792 ans avant Jésus Christ.   

Le lieu que les atlantes avaient finalement choisi pour leur « Salle d'archives », qui devait servir de lieu de stockage de leur savoir ésotérique, religieux, scientifique et leurs lois, était le plateau jadis très fertile de Guizeh. Ce plateau était même à l'époque connu des atlantes pour avoir pu résister à de multiples déluges, inondations et tremblements de Terre. Ils croyaient également que cet endroit était approximativement le centre mathématique des continents terrestres et que cette « Salle d'archives » serait ainsi moins perturbée par les futurs tremblements de Terre et déluges. Cette « Salle d'archives » à été enfermée dans sa propre pyramide, qui devait rester cachée pendant des milliers d'années. Cette pyramide devait se trouver entre le Sphinx et La Grande Pyramide. Depuis la patte droite du Sphinx, nous devrions trouver une entrée qui permettrait l'accès à la « Salle d'archives ». Cet accès ne devait être découvert qu'au moment où l'humanité aurait acquis un niveau spirituel suffisamment élevé, au début de la cinquième ère.

S'il y avait un héritage culturel de l'Atlantide en Égypte, il serait bien sous forme des religions qu'on y trouvait jadis. Même si nous possédons très peu d'informations concernant les religions de l'Atlantide, nous pouvons cependant nous faire une image en lisant ce que Platon et Cayce nous avaient laissé. Nous ne devrions pas considérer les écrits de Platon et les lectures de Cayce comme contradictoires, mais comme complémentaires. Les écrits de Platon forment, eux, une description plutôt globale, sans rentrer dans les détails individuels des gens. Tandis que l'ensemble des lectures de Cayce est avant tout une mosaïque d'expériences de vies des gens, vue individuellement rendant une vision globale difficile.

Nous pouvons, en mettant les deux l'un à côté de l'autre, nous faire une meilleure idée de la vie sur ce pays qui était jadis l'Atlantide. La première impression que ces informations nous donnent, est le fait que l'Atlantide semble avoir eu, tout comme l'Égypte ancienne, deux religions. Mais oui, l'Égypte ancienne avait bel et bien deux religions ; une religion polythéiste, celle des pharaons et de la classe dirigeante, puis une religion monothéiste pratiquée par les plus basses classes de la société égyptienne, qui étaient les hébreux. L'Atlantide avait apparemment connu une situation similaire, où la religion polythéiste se nommait « Fils de Belial » et formait l'essentiel de la classe dirigeante et les tenants du pouvoir, puis la classe des ouvriers et paysans appartenait plutôt aux « Fils de la loi d'Un». Cayce affirme d'ailleurs dans sa lecture 1007-3, que les « Fils de la loi d'Un» ne seraient rien d'autre que les ancêtres de la population juive. Les « Fils de Belial », eux, utilisaient leur doctrine religieuse et spirituelle surtout pour leur propre avantage matériel, comme nous le connaissons de l'époque des pharaons. Une autre similitude est le traitement réservé aux plus basses classes, car la société atlante était, comme l'Égypte ancienne, divisée en classes. Les classes les plus défavorisées, les ouvriers et les paysans, n'étaient même pas traitées en tant que humains, on les traitait en tant que “choses”, une classe d'intouchables, comme dans l'Inde d'aujourd'hui. Même si les égyptiens ne connaissaient pas les esclaves jusqu'à l'invasion de leur pays par Alexandre le Grand, le sort réservé aux plus basses classes était guère mieux. Tout juste s'ils ne les traitaient pas comme des animaux. Les « Fils de la loi d'Un » ( les ancêtres du peuple juif ) ne connaissaient pas de meilleur traitement pendant leur existence sur l'Atlantide, où ils étaient nommés “choses”, ce qui nous laisse un mauvais présage du traitement qui leur était réservé. Le pire était réservé aux enfants issus des mariages mixtes. Rejeté par les deux camps, ces enfants étaient traités comme des animaux. Nous ne possédons pas à ce jour de traces écrites que ceci se passait de la même façon en Égypte ancienne, mais on pourrait s'en douter.

Une autre similitude, que l'Égypte ancienne partage avec l'Amérique latine, c'est que leurs religions avaient comme dieu suprême le Soleil. Les « Fils de la loi d'Un» adoraient à l'époque également le Soleil, sauf que les « Fils de la loi d'Un » ne connaissaient pas toute cette panoplie de sous-dieux, deux adjoints, annexes et cetera. Cette notion de dieu Soleil semble avoir disparu lors de leur séjour en Égypte, pour être remplacée par celle de “dieu” que nous connaissons à ce jour. Nous trouvons d'ailleurs aussi bien dans les lectures de Cayce, que dans les anciens documents égyptiens, les noms de ce dieu Soleil, dont le nom le plus souvent cité était le nom « Ra » ou « Ra-Ta », mais aussi « Re ».




Rappel ! Ce texte est protégée par les lois des droits d'auteur. Le Code de la Propriété intellectuelle n'autorisant, aux termes de l'article L 122-5,2° et 3°a, d'une part, que les « copies ou reproductions strictement réservées à l'usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective » et, d'autre part, que les analyses et des courtes citations dans un but d'exemple ou d'illustration, « toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l'auteur ou de ses ayant droit ou ayant cause est illicite » (art L 122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L 335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.



 
     
Autres livres du même auteur :
Éditions Jean Voltaire
Wolter Smit, Courcelles sur Seine, France
Personal web site : French and in English